introduction. - Notes du mont Royal

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mis le mode de les honorer, et que nous l'avons reçu
d'eux.
• Le prince s'adressant à Jan-yeou, lui dit : Dans les
jours qui ne surit plus, je ne nie suis jamai> livré a i étude
île iit philosophie L J'aimais beaucoup Léquitation ef
i "exercice des année. Main loua ut les anciens ministivs ei
allies de mon père et Ions les fonctionnaires publies
iront pas de confiance en moi; \\> craignent petif-etie
cpie je ne puisse suffire à l'accomplissement des uraues
devoirs qui nie sont i in posés. Nous, aile/ encore pour
moi cou su lier MOG-TSëC à cet eitani. — Jnn-if.-tiii se
rendît de nouveau dans le royaume de 'jwoit pour interroger
MEXG-TSEC. ME>'G-TSW dit : Les choses elant ainsi,
xi) \ iv pr i n ce n e doi I pa s re< • 11 e te ! i e r la p pi i> luttion des a 11~
ti-es. Kilo IN G -TSE i; disait : Lorsque le prince venai! a
« mourir, les ahaîres du p m ver ne me ni. e! aient dint<
ii*ées par le premier miuisire -. I/héritier «au pou-
« voir se nourrissait de ri/ cuit dans l'eau, et son vîsaae
a lire naît une feinte très-noire. Lorsqu'il se plaçait MU*
« son siège dans Ja chambre mortuaire, pour se li\rer a
« sa douleur, les magistrats et 1rs jonciiounaiies publics
« de toutes classes n'osaient se soustraire aux démonstrations
d'une douleur dont l'héritier du froiie donnan
« le premier l'exemple. Quand les supérieurs anneui
e quelque chose, les inférieurs ralleeiionnee! bien plus
M vivement encore. La vertu de i'homme supérieur es?
« comme le vent, la vertu de lia ut une huer leur est comme
« bherbe. L'herbe, si le vent \ient a passer sur elh\
« sa ne M ne rieeessairenieet, » 1! est au pouvoir du 1 ils du
siècle d'agir ainsi.
Lorsque J._,
le iiis du siècle dit : (l'est vrai, cela ne dépend que de
moi. Et pendant cinq lunes il habita une huile en bois
(construite en dehors de la perle du palais pour y pa^vr
s I -, i U r ;:i loin e ni, à >"( uJi»u>Hi..i'ïi:. K ->