introduction. - Notes du mont Royal

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tous les princes tremblent ; lorsqu'ils restent en paix5 toul
l'empire est tranquille.
MEPIG-TSEU dit : Comment pour cela peuvent-ils être
considérés niniini' grands? Vous n'avez donc jamais étudié
le iJrrr (lr* li itcs ? I J >rs< j i u • I e j e u ne ho m me ï vc-oi t\v
bonnet \iril, U' père lui donne ses instructions; lorsque
la jeune fille se otarie, la mère lui donne ses instructions.
Lorsqu'elle se rend à la demeure de soti époux, sa mère
raccompagne jusqu'à la porte, et l'exhorte en ces ternies:
Oiiaud Iti seras dans la maison de ton mari, tu devras être
respectueuse, tu devras être attentive et eircainspecte : ne
f"oppose pa* aux volontés de ton mari. Faire de l'obéissance
et de la soumission sa règle de conduite, est la loi
de la femme mariée.
Habiter enn si ai muent, dans la grande demeure du
monde 1, se hier constamment sur le droit siège du
monde- ; marcher dans la grande voit* du monde * J ; quand
on a obtenu l'objet de ses voeux pies emplois et des honneurs
|, faire part au peuple des biens que bon possède;
lorsqu'on n'a pas obtenu l'objet de ses vieux, pratiquer
seul les principes de la droite raison en faisant tout le bien
que l'on peut l'aire ; ne pas se laisser corrompre par les
richesses et les honneurs ; rester impassible dans la pauvreté
et l'abjection : ne pas fléchir à la vue du péril et
de la forée armée : voilà ee que j'appelle être un grand
homme.
.1. '/'r/irt/tf-si/ff, fît y ne question en ces ternies : Les
hommes supérieurs de l'antiquité remplissaient-ils des
fonctions publiques? MKNTI-TSï-T dit : Ils remplissaient des
loue lions publiques I/histoire «lit : Sî KIIOI-NG-TSEU passait
trois lunes sans obtenir de son prince un emploi publie,
alors il était dans un état inquiet et triste. S'il Iran-
s C*'- ;t ! ( j||Mi«v