introduction. - Notes du mont Royal

MENG-TSEU. 240
a Sa femme Kiang était avec lui :
a C'est là qu'il fixa avec elle son séjour. ®
En ce temps-là il iry avait dans l'intérieur des niai son s
aucune feriiiiic indignée [d être sans mari M; et dans tout:
le royaume il n'y avait point de eéli hâta ire. Moi, si vous
ailliez la volupté, [aimez-la comme Taï-wamj} et rendezht
commune à tonte la population [eu faisan! que personne
ne soit privé des plaisirs du mariage] ; alors, quelle difficulté
trooverez-vous à régner ?
6. MENG-TSEI; s'ad ressaut à Siouan-wany * roi de Th$i\
lui dit : Je suppose-qu'un serviteur du roi ait assez t le confiance
dans un ami pour lui confier sa feu une et ses cillants
au n toi nent où il va voyager dans TE ta! de TItmu,
Lorsque cet homme o>t de retour, s'il apprend que sa
teinuïe et: ses enfants ont soulier! le froid cl. la faim, alors
c{ ne do i t -i 1 lai re ! — Le r o i d i t: : 11 d o î t r o m p r e e n t i è r e n i » * i \ t
avec son ami.
MENG-TSEC ajouta : Si le chef su pré nie de la justice
(Sse-sse) ne peut gouverner les magistrats qui lui sont
subordonnés,, alors quel parti doit-on prendre à son
égard !
Le roi dit : Il faut le destituer.
ME.NG-TSEC poursuivit : Si les provinces situées entre les
1 imites extrêmes du royaume ne sont pas là en gouvernées^
que faudra-t-il faire t
Le roi [feigliant de in» pas comprendre] regarda à
droite et à gauche, et parla d'au In» chose-,
7, ME.NG-TSEI étant aile visiter Siuuathirang* roi de Tfisi,
lui d i t ; Ce qui I a i t a p f >e 1 e r tu i r oy a u 111 e a ne i e n, e e n e so n t
pas les vieux arbres élevés qu'on y trouve, ce sont h % s générations
successives de* ministres habiles qui font rendu
heureux et prospère. Roi, vous il avez aucun ministre
1 Commenta i rc c h in o i s.
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