introduction. - Notes du mont Royal

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can à leur place; que les amis et les compagnons aient
de la fidélité l'un pour l'autre.
I/lionmio aux mérites éminents l disait là son irere
67e i : «Va consoler les populations; appelle-le-, a loi :
« railla noirs à fa vertu ; roiTi^'-Irs, a H le-les, fai< 1rs
•< prospérer; fais que par elles-mêmes elles retournent
« au bien ; en outre, répands sur elles de nombreux biene
faits, M Lorsque ees saints lauinnés se préoccupaient
ainsi avec tant de sollicitude du bonheur des populations.
pensez^ von s qu'ils aient eu le loisir de se livrer aux iravaux
de l'agriculture?
Voo était lot ni ne iili» par la ennuie de ne pas rencontrer
nu homme eoiniue ?.7^//Mpour I aider a gouverner
l'empire); et (.'huit était tournaille par la crainte de tapas
rencontrer des lion m tes c.omme J K et /tec~ ) w>. (it-ux
qui sont tourmentés de la crainte de ne pas mimer cent
arpents de terre, ceux-là son! des agriculteurs.
IV action de partager aux bon unes ses richesses s appelle
bienfaisance; lac'ion d'enseigner la vertu aux hi»mmes
s'appelle droiture du ctcitr: l'actinu d obtenir I affection
ik^ hommes pour gouverner l'empire s'appelle humanité.
C'est, pour cette raison qu'il est. tacite de donner
l'empire à un homme, niais qu'il est difficile d obtenir
l'aliéetion des hommes pour i:ou\erner i empire,
Kiioi/NCi-TSKr disait : Oh! que I-f^ fut grand comme
prince! Il n'y a (pie le ciel qui soi! grand ; îl n'y a que
y m qui ait imité sa grandi'nia Que ses vertus et ses mérites
étaient incommensurables! Les populations ta*
purent trouver de termes pour les qualifier. Quel prince
r. était que cV/w*/ qu'il était grand et sublime! Il posséda
l'empire sans s'en glorifier, —-
Tant que ïao et- (.'luif gouvernèrent l'empire, n eurent-ils
pas assez de quoi occuper ton le leur intelligence,
sans se livrer encore aux travaux de l'agriculture?
J'ai entendu dire rua 1 certaine la un mes, en se servant
1 Yitt). .'ilfiSi ;}>< î;niitx(fv{