introduction. - Notes du mont Royal

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opportun ; il ne fatigue pas les autres de ses discours.
Quand il faut être joyeux^ il rit; mais il ne fatigue pas
les autres de sa gaieté. Quand cela est juste^ il reçoit ce
qu'on lui ufî'i'r ; mais un nV>t pas 'fatigue de sa facilité a
ivs-pytiir. Le Philosophe dit : Il se comporte ainsi ! eoni-
ÏIïiM il Si* pi'Ut-ii e< a 11 polie!" ainsi !
1 *'». Le I * ! J i ! t IN ip 111 M 1 i t : / s/ mg-?cou-t rhooog c h< »ri' 11ai f a
obtenir du prit ire de ljm que sa postérité eût toujours
la I erre de / m H/ eu sa possession, Lhampéil eût dit qu'il
ne \ « s 111 a î ! p a s I " e \ i p i: d e son p ri n e e, j e n ' a j ou! e pas foi
à si*s paroles.
10. Le P î i i ! oso p 11 e dit: Il 'on-koog, pr i n ce de * Tçin,
était un i o u r !>e sa 11 s 111 *o i f i ire ; 11 an-kong, pr \ n ee c I e 1 lis ?",
était un f tôt uni»* droit, .sans fourberie.
17, / >• vu /< / // d il : 11 u a - /,• ; a t g tua K ong-fs e u-k ko u.
7 / • // < m // n i'i 111 o n r* u I avec lui; K mum-tch o un g ne mourut
pas : ne do il-on pas dire qu'il a manqué de la vertu de
i'Iiumanite?
Le- Philosophe dit : l Van-k on g réunit et pacifia tous
les grands de l'rJaf, sans recourir a la forée des armes;
ce résultat fut dû à l'habileté de h'ounn-tdtuung : quel est
relui dont l'humanité peut égaler la sienne?
1S. '/ k*« - /a >u.Hg dît. : /i e w < e i -^ r// o u n g ï i * e t a î t. pu s d on 11 é
de la vertu de l'humanité. 1 ajrsipie ! 1 >///-/«•ng tua KongtMv.-!\ietïu+
\fioui!)