introduction. - Notes du mont Royal

294 MENG-TSEU.
2. Ting-kong, prince de Teng, étant mort, Se fils du
siècle [l'héritier du trône], s'adressant à Jan-yeou, lui dit :
Autrefois MENG-TSEU s'entretint avec moi dans l'État de
Swing, Je u a î jaiuaîs oublié < la n s i n 011 ami r ee q i fi l me
dit. Maintenant que par un malheureux événement je suis
tombé dans un grand chagrin, je désire vous envoyer pour
i ri f e rrog p 111 a t i on s de s t ro ts d y o a s -
ti es , depuis le m pe r e u r jusqu'aux de r n i è r es cl asse s d 11
peuple.
Après que Jan-yeou lui eut rapporté ces paroles, le
prince ordonna de porter un deuil de trois ans. Les ministres
parents de son père et tous les fonctionnaires publies
ne v o n 1 n r e 111 pa s s" y c o 11 l'o r 111 er ; ils d î r e n t : I) e t ou s
les a ne i e n s princes de ùm [ d *o ù v î e n ne n t n os a n c ê 1res!,
aucun n'a pratiqué cette coutume d*honorer ses parents
décédés; de tons nos anciens princes, a ne un également
n'a pratiqué ce deuil Quant à ee qui vous concerne, il ne
vous convient pas d«gtr autrement ; car l'histoire dit :
« Dans les cérémonies des funérailles et dit sacrifice aux
u mânes des défunts, il faut suivre la cout urne des a m
« cotres. » C'est-à-dire que nos ancêtres nous ont trans-