introduction. - Notes du mont Royal

MEHC-TSEU. 325
10. Kouang-tchang dit : Tchin4ckoung4seu n f est-il pas
un lettré plein de sagesse et de simplicité ? Comme il demeurait
à Ou-ling, ayant passé trois jours sans manger,
• ses oreilles ne purent plus entendre, et ses yeux ne purent
plus voir. UII poirier se tmuvail la auprès d'un poils; 1rs
vers avaient inai)^ ; plus de la moi fit* 1 de ses IVuils. Le IIIOrihond,
se traîna ut sur ses mains ef sur ses pieds, cueillit
le restant pour le manger. Apres en avoir goûte trois
!bis y ses orei11es r eeovrer enI i*onie , i t t1 r i < i 1 e
plus gr a f i d l . Ce pe ne I a ri I.. 11i a I g ré v e I a . e i m i ; i t e t1 ! / ) -/mu > / »/ -
?se& entend-il la si in pi ici te et la tempérance 1 Ptmr remplir
le but de Tcfu>ung-ts(Ki il hit a Irai! devenir ver de
terre; alors o i \ j M >U r ra i t. lui r e sse 11 d > ! e r,
Le ver de ferre, dans les lieux élevés, se nourrit de
terre sèche, et, dans les lieux Luis, il boit iVau bourbeuse.
La maison qu'habite Tchonnu-tscu n'est-ce pas celle eue
Pé-i' 1 se construisit V ou bien serait-e»- eelle quel* vulf-ur
Te/te* bàiif? Le unie! qu'il mange nVs!-;i pas relui que
Pé-i sema *f ou bien serait-ce celui qui fui verne par /e;.."/
Ce sont, là «les questions qui n'ont pas enenre eto IVMIkies.
I\iyu.