introduction. - Notes du mont Royal

MENG-TSEU. 283
daos les fossés pleios d'eau et dans les mares des ?allées;
les jeunes gens liais et robustes qui se son! disperses et
se sont rendus dans les quatre parties de l'empire | pour
y chercher leur nourriture] sont au nombre de plusieurs
milliers.
[Le magistral 1 répondit : II ne dépend pas de nu a h'iu-
>rtf que cela ne suit ainsi.
IMLNG-TSKè'I poursuhit : Maintenant, je vous «lirai que
s il se trouve un la a tune qui reçoive d'un autre des I neufs
et îles moulons pour en être Je gardien et les faire pailre.
à si place, alors il lui demandera nécessairement des
pâturages et de l'herbe pour les nourrir. Si, après lui
avoir déniai aie des pâturages et (h'> herbes pour nourrir
son troupeau, il ne 1rs obtient pas, alors pensez-vous
qu'il ne le rendra pas a Thon une qui le lui a coi i lie, ou
qu'au contra ire il se tiendra la immol.uk 1 en le regardai!!
mourir?
j Le magistrats répondit : Pour cela, c'est la faute de moi
/liu-ahi.
Lu autre jour, MK.VJ-ISI-;!' étant allé voir le. roi. il lui
dît: De fous ceux qui administrent les villes au nom du
roi, \otre serviteur eu connaît cinq ; et parmi os cinq il
n'y a que A hou u //~/ow- s o/ qui reconnaisse ses tauîe>. Loisqu
il les eut racontées ait roi, le roi dit : yuan! a ces calaun
tes, c'est: moi qui «ai suis coupable.
o. MOU-TSEC s adressant a /e/o-oe// \î,I-ù,U, OU l'un tics
premiers fonctionnaires, de l/:*t\% lui dit : Nous a\ez refuse
le commandement de la \ille de /oa//-Mo'ee, et vous
avez sollicité hs fonctions de chef de la justice. Lela paraissait
juste, parer que ce dernier poste votis donnait la
faculté de parler au roi le langage de la raison. Maintenant,
voila déjà plusieurs lunes d'écoulées depuis que
vous èfes en fonctions, et vous na\e/ pas encore
parlé ?
'i'rhi-tra ayant fait