introduction. - Notes du mont Royal

144 LE LUN-YU?
18. Le Philosophe dit : Oh! quelle élévation, quelle sublimité
dans le gouvernement de Ckun et de Yu ! et cependant
il n'était encore rien à leurs yeux.
19. Le Philosophe dit : Oh! qu'elle était grande la conduite
de )ao dans l'administralion de l'empire! qu'elfe
t:!aîl éle\év ol sublime! î! n'y a que le ciel qui pnu\ait
begaler en grandeur ; îl n'y n que Ynn qui pouvait imiter
ainsi le ciel ! Ses vertus et ait ait si vastes et si profondes,
que le pou pie ne trouvait point de noms pour leur donner
!
Oh : quelle grande tir ! quelle su Illimité clans ses ae fions
et ses mérites ! et que les monuments qu'il a laissés de sa
sagesse sont admirables !
iû. (lhun avait cinq ministres* ot l'empire était bien
gouverné.
\Yifit-tr/m(j disait : J ai pour ministres dix hou unes d'Etat
habiles dans Fart de gouverner.
Kfiot .xc«-TS!ophe dit : Je ne vois aucun défaut dans
i n: il éiait sobre dans le boire et le mander, et souverainement
pieux envers les esprits et les génies. Ses vêtements
ordinaires liaient mauvais et grossiers ; mais
comme aliène défaut daîH }'u.
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