introduction. - Notes du mont Royal

OU LES ENTRETIENS PHILOSOPBIQUES. 125
6. Le Philosophe dit : La voie droite (sa doctrine) n'est
point fréquentée. Si je me dipose à monter un bateau
pour aller I'ïI nier, cvlni qui me suivra. nV-f-re pas Iran
(surnom do T$(:ti-lht,\? 'hru-li>u% entendant ces paroles,
fol ravi de joie, Le Philosopha dit : IV-/e/. NOUS nie sur­
passez en force el eu audace, niais non en ce qui consiste
à saisir la raison iïvs actions humaines.
7. i\fe)itf-i.rott-pf (premier ministre du royaume de IJM)
demanda si Tseti-iun était humain. Le Philosophe dit : Je
l'ignore. Ayant répété sa demande, le Philosophe repon­
dit : SU s'agissait de commander les forces militaires d'un
ro va un le d e m i 11 e c h ar s, 7 \t MHI humaniîe.
8. Le Philosophe interpella Vtctt-htthi'f* en dî.sm! : Le­
quel dé vous, ou de //o>7, surpasse I au ire en qiiahto?
\T$i:u~Ji•i 'eiii I re d e snl f e f es d î x. pa r t ics ; t no i Ssr « d a \ o i r entendu
cette seule partie, je ne puis en comprendre que deux
[sur dix].
Le PI u ii isoplî e dit : Voi i s ne lui i ess»TU bl cz pa s ; j e \ o u s
accorde que vous nt 1 lui ressemblez pas.
îh TsnhifH se reposait ordinairement sur un \\\ pendant.
le jour. Le Philosophe dit : Le bois pourri ne peut être
sculpté : un mur de houe n