introduction. - Notes du mont Royal

OU LES ENTRETIENS PHILOSOPHIQUES. 187
et cependant il s'applique toujours activement à Ses propager.
_ :
•ii. Le Philosophe étant un jour occupe «i jouer de sou
i us! ri» neuf de pierre nomme 4e «7. dans tlsf af de if//,
un homme, portant un panier sur ses épaules, vint a pas­
ser devant la porle de KiMH'Vi-Tsr.r, et sï.rria : t i11 ! qu'il
a de coeur, celui qui joue ainsi dit /.•/>/7/
Après tu) instant de alertée, il ajouta : II les hommes
vils ! quelle harmonie! kinff ! /art y ! personne ne sait l'ap­
précier. Il a cesse de joie a- ; c'est fini.
« Si l'eau est. profonde, alors ils la passant sans relever
« leur relie;
« Si elle n'est pas profonde, alors ils la relèvent L »
Le Philosophe dit. ; Pour celui qui est. persévérant et
terme il n'est rirai de difficile.
• i 3 » 'i - v - ' ' > -i clta n7 d i I : Le t li0 u l;i)/ 7 rapporte que /wv. -
tiourtff passa dans le Liany-f/n- Irois années sans parler;
q u e I est 10 se ri s ri e e e pa s s; 1 ^ < ' ?
L e 1 * 11 i J < >so p 11 e ( 1 i t : 1 * o u r q u o i c i t e- r se u k ' 11 le 11 i fùto • /se wi 7 ?
Tous les hommes de l'antiquité agissaient ainsi. Lorsque
h* prince avait cesse de vivre», tous les macj.-irals ou fonc­
tionnaires publies qui continuaieiil leurs fondions recevaient
du premier ministre leurs mslruclions pendre 1
trois années.
4-4. Le Philosophe dit : Si celui qui occupe le peaeicr
rang dans tTJaf ait ne à se conformer aux nies, alors. îe
peuple se laisse tacitement trouverner.
4-è». '/seu-lon demanda ce qu'était l'homme supérieur.
Le Philosophe répondit : Il sYfloree constamment, d a-
rnéliorer sa., personne pour sait f ire r le respect. - • Cesî ta
tout ce quïl tait ? — il améliore constamment sa personne
pour procurer aux. autres du repos et de la tranquillité.
— Ces! là tout ce qu'il fait? — II améliore constamment
sa personne pour rendre heureuses toutes les populations.
î Citation dt dViv fin IVc ilVi-Mec;. lsli"f.irc imiir iM-rr 1-. ;iii!:c -