introduction. - Notes du mont Royal

OU LES E.MHBTIBNS PHILOSOPHAI ES. 179
CHAPITRE XIV.
COMPOSÉ DE 47 ARTICLES.
J. Mien l demanda ce que c'était que la honte» Le Philosophe
dit : Quand FEfaf est gouverne par les principes
de la droite raison., recevoir des émoluments-; quand
l'Etat n'est pas gouverné par les principes de la droiteraison,
recevoir également des émoluments : c'est là de
la honte.
2. — Aimer à dompter son désir de combattre, et ne
j ) as sa t i s t a i r e se s r e sse n t i me n t s ni s es pe ne 11 a n I s a v i c 1 < » s :
cela i te peu t- i 1 pas et re e onsi déré e om m e la v crin d e F1111 -
inanité?
Ee Philosophe dit : Si cela peu! être considéré comme
difficile, comme la vertu de l'humanité, c'^f ee que je ne
sais pas.
3, Ee Philosophe dît ; Si un lettré aime trop l'ogive te
e t I e r e pus de sa d e m e 11 r e, il n'est pa s d i gn e d *è t r e c o n s i -
déré coinrne lettré,
•i. Le Philosophe dit : Si l'État est gouverné par les
principes de la droite raison., parlez hautement et dignement,
agissez hautement, et dignement. Si l'Etat n'est pas
gouverné par le^ principes de la droile raison, agissez
toujours hautement et dignement, mais partez avec mesure
et précaution.
">. Le Philosophe dit : Celui qui a des vertus doit avoir
11 ï fa cuit é de* s e x pr in i e r fa e i 1 e m e n t : c e lui q ni a I a 1 a c u 11. é
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