introduction. - Notes du mont Royal

MENG-TSEU. 285
les devoirs funèbres [à sa mère] dans le royaume de Lou.
En revenant dans le royaume de 7W, il s'arrêta dans la
petite ville de )««/. T*:honnfj-f/u j un de sis anciens disciples]
loi dit avee soumission : (les jours passes, ne sachant
pas que votre disciple ) it était tout a tait inepte, voie,
m'avez ordonne, à nioi î e. de taire taire un cercueil
par un charpentier, ilaris la douleur ou \ousvous trouviez,
je n"ai pa> ose vous questionner a eef e^ard. Aujourd'hui
je désire vous demander une explication sur un
doute t pie j'ai : le bois du cercueil n'était-il pas trop beau?
MFVJ-ïSI'I' (lit : Ihms la haute antiquité, il n'y avait
point de règles fixes pour îa fabrication des cercueils, soit
intérieurs, soit extérieurs. liai: s la moyenne antiquité, les
planches du cercueil intérieur avaient sep! p.>uees d ëpaisseur
; le cercueil extérieur était dans les mêmes proportions.
Uette rêide était observée par tout le monde»
depuis l'empereur jusqu'à la foule du peuple: et ce n efait
pas as.-urémern pour que les cercueils lussent beaux.
Ensuite les parents se livrai»ail à traite la manifestation
des sentiments de leur e(enr.
Si on n'a pas la faculté de donner à ses sentiments de
douleur tente l'expression que Ton deare l ? on ne peut
passe procurer des consolation^. Si on n'a pas de tort une,
on ne peut également pas st.* donner la consolation de
faire à ses parents de mairnitiques funérailles. Lor>qu ils
pouvaient obtenir d'agir selon leur désir, et qn ils en
avaient les moyens, tous les hommes de I antiquité employaient
de beaux cercueils. LVmrquoi moi -cul. n'aura
is-je pas pu ainr de même?
0i\ si lorsque leurs père et mère viennent de décéder
les enfants ne laisse-ni pas la terre adhérer a leur corps.
auront-ils un seul sujet.de repret [pour leur conduite)?
J'ai souvent entendu dire que ["homme supérieur ne
doit pas être parcimonieux a eatee des biens du monde,
dans les devoirs qu'il rend a ses parents.
• Si .