introduction. - Notes du mont Royal

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pas la vertu, et qu'il ne se réjouisse pas des humes ci
saines doctrines, il i Ta gif pas ainsi. Alors il n'es! pas eapabio
de remplir ses fouet ions ! .
irest ainsi que 1 ffurig-fitmig s'Instruisit «l'abord prés
de }-//*??, qu'il lit eiiMiite son ministre. Voilà pourquoi il
gouverna sans peine, //"//'?W»Y>//W/s'instruisit d'à boni près
de Aou divers Ltafs de l'empire
sont de la même classe [ou a peu près d'une eerale étendue
j les avantages sont les mêmes. Aucun d'eux ne peut
dominer les autres. Il n'y a pas (Fa titre eau se a cela, sinon
que les princes aiment h avoir des ministres auxquels
ils don lient les instructions qu'il leur convient, et qu'ils
n''aiment pas à avoir des ministres dont ils recevraient euxmêmes
la loi.
7 ch in g-tha ng n '* a lira ï t pa s osé 1 a i i v. v e n i r pr es d o 1 u i }"y
i n n ï Ko u an -ko u /? g a p p i •1er p r è s de lui i/o u nn-t ch o un g, S i
Ho ua n-tcfïo u ng n e po u v a ï t. pa s ê t r e mande f très il 'un petit
prince, à plus forte raison celui qui ne fait pas grand cas
de A'ouan-tcltourtfj !
3. 1 ch iii-(J(S in {d ïseî i >le c le M rs G-TSE I: ) Il t u n e q 11 est i o 11
en ces termes : Autrefois, lorsque vous efîez dans ! i v ou s e n o ! ï r if q u a -
torze eentsonces, et vous les reeùtes. Lorsque vous elîez
dans le royaume de Sic, le roi vous en oflrit mille onces,
et, vous les reçûtes. Si dans le premier eas vous nwi ci?
1 MLNCJ-TïJCU Veuf Cait'O tlépOlidre IrS JU'ifKCS ijes Sil^Oi et Jt;S Jiutllmm
n: hure, s, et non lo.s sa^e» r! If s buituiios celairës îles | oi oces.
I! relevé' ta. < J11 f 111 i. t> =T\ \\w f ' ' a bien
u«ulu k'N c rat ai' r f» Lun.in