introduction. - Notes du mont Royal

168 LE LtJN-YtJ,
même^du respect pour les phénomènes extraordinaires *,
•11. King-kong, prince de Thsi> questionna IHOUNG-
TSEU sur le gouvernement.
KHOUNG-TSEU lui répondit avec déférence : Que le
prinee M»îI prière; le ministre, ministre; le père, père;
Ii i fils, Mis. | Le prinee | ajouta : Fort tiien ! c'est la vérité. 1
si te prinee n est pas prince, si le ministre n'est pas ministre,
si le pi Te nesl pas père, si le fils n'est pas fils»
quoique les revenus territoriaux soient abondants, comment
parviendrais-je à en jouir et à les consommer?
1 i. Le P h i hisi>j) 1 ïe dit : CeIui cjoi a\< i e la moitîé d*une
parole peut terminer des di lié rends, n'est-ce pas Yeou
(Tseu-Iou)?
Tmi-lou ne met pas l'intervalle d'une nuit dans i'exéeulion
de ses résolulions.
I » \. L e 1 * 11 i 1 oso j ) 11 e d i t : J e p u ï s écoi iter de s p I ai d oîrî es
et juger des procès comme les autres hommes; niais ne
serait-il pas plus nécessaire de faire en sorte d'empêcher
les procès -?
•M. 7 seu - i ch cm g fît une q u e s I i on si t r 1 e go o v e me m e n I.
Le Philosophe dit : lie liée hissez mûrement, ne vous lassez
j a m a i s de fa ï r e 1 e h i e n et de trait er 1 es ch oses a ve c
droiture.
KL Le Philosophe dit : Celui qui a des études trèsétendues
en littérature se fait un devoir de se conformer
a n \ rites; il j >e ut m e m e p ré v e i ï i r 1 e s séd it i o ns.
10. Le Philosophe dit : L'homme supérieur perfectionne
on développe les bonnes qualités des autres
hommes; il ne perfectionne pas ou ne développe pas
leurs mauvais penchants: l'homme vulgaire est l'opposé.
17. Ki-kong-tsfu questionna KIIOOG-TSEI: sur le gouv
e r n e m e n L K ! i o r N c. -TS E r r e j >o 11 d il a Y e c cl é le re n c e : L e
gouvernement, c'est ce qui est juste et droit. Si vousgou-
1 Plusieurs n>{iirm:ïit;it