introduction. - Notes du mont Royal

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tait pas autre cbose ; ils suivaient l'ordre de la nature daos
l'application de leurs bienfaits, et voilà tout. Maintenant
que vosbiemaitsont pu atteindre les animaux, vos bonnes
u 1 1 tvrt 's ne s Y f s * nd ron I-< » 11 < s pus jusqu'aux pepu I ation s, e t
celles-ci en seront-elles seules pri\ees?
Quand on a plaeé des objets dans la balance, on connaît
ecuxquî sont lourds ef. ceux qui sont levers. Quand on
a niesure des objets, on connaît eenx qui sont longs et
ceux qui sont courts. 1 on tes les choses ont en général ce
e a r a < : t i : r t l ; t u a i s 1 e e ee t 11 ' t ! e V1i o i 11111 e e s t 1 a e 11 ose la plus
importante de fontes, (loi, je vous en prie» mesurez-le
(eVst-à-di e, tachez d'en déterminer les Y e ri fables sentiments].
O roi î quand vous laites briller aux yeux les armes aigués
et les boucliers, que vous exposez an danger les chefs
et leurs soldais, et que vous vous attirez ainsi les ressentiments
de Ions les grands vassaux» vous en réjouissez-vous
dans voire eu air 1
L e i - o i dit : A n c u n e n i e n t. ( î o 111 n i e n t 11 i e r e j o u i r a i s-j e
de pareilles choses? Tout ce- (pie ie e lie relie en agissant
ainsi, c'est d'arriver a ee qui util le plus e ranci objet do
mes désirs.
Mo'u-ïsEr dit : Pou irais-je parvenir à connaître ie plus
g r a n t î d e s v ». e nxd.it roi? 1, e roi st ) n r i 1, e I ne répondit
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