introduction. - Notes du mont Royal

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Notre maître ne peut pas être atteint [dans "son intelli­ •lî— 1
gence supérieure]; il est comme le eiel^ sur lequel on*ne
peut monter, même avec les plus liantes échelles.
Si notre maître tih!F. M .MWICLES.
I. î no dit : 0 Chun! le ciel a résolu que la succession
de la dynastie impériale reposerait désormais sur votre
personne. Tenez ton jours terme! lient et sincère ri lent le
milieu de la droite voie. Si les peuples qui sont situés
entre les quatre mers soullrent de la disette et de la
misère, les revenus du prince seront à jamais supprimés.
Chun confia aussi un semblable mandat à ! w. [Celui
-c i | d i t : Moi humble e t. j>a iivre L /, t o n t ce q ue j "ose,
c'est de me servît** d'un taureau noir [dans les sacrifices];
tout, ee que j'ose, c'est d'en instruire l'empereur sonverain
et auguste. S'il a coi un lis des fautes, rr'osé-je [moi,
M ai ministre j l'en blâmer? Les ministres naturels de
l'empereur [les sages de l'empire 1 ] ne sont pas laisses
dans robscurile; ils sont tous en évidence dans le cœur
de l'empereur. Ma pauvre personne a beaucoup de défauts
(pii ne son! pas connu nus [au\ sages] des quatre
régions de l'empire. Si les [sages] des quatre régions de
1 Commentaire.
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