introduction. - Notes du mont Royal

LA GRANDE ÉTUDE. " 55
3. Une seule famille ayant de l'humanité et de la charité
suffira pour faire naître dans la nation ces mêmes
Yertus de charité et d'humanité ; une seule famille ayant
tli* lu politesse eî do la condescendance suffira pour rendre
une* nation condescendante H polie ; un seul homme, le
prince l . étant avare et cupide, si if lira pour causer du désordre
datu une rialion. Tel est le principe oit le mobile de
cos vertus et île ees vices. (Yi*>t ce que dit le proverbe :
l.'n moi perd l ' a //< c1 re ; un k ont m e dèt erai i ne le sue! d un
empire.
•4. Y m) et Chien «on ver lièrent l'en t pi ro avee humanité»,
e f le pe n f île les iiiiîf a, Aïe * • î 7 '7/ cou - - o t1 \ e r n è r < a i ! i ' e 111 -
pin; avee cruauté, et le peuple les imita. Ce que ees derniers
ordonnaient était roi i Ira ire a ce qu'ils aimaient, et
le peuple ne s'y soin ni f pas. (Test pour eeffe raison ipto
le prince doit lui-même pratiquer tontes les vertus, et ensuite
engager les autres hommes à les praliquer. SU ne
les | K>$sè d e p as et n e I e s p r a t î q n e j:> a s lui-même, il ne doit
pas 1 es e x i ge r des a 1i1 r e s 11 o mu les. Que n'ayant rien de
bon, rien de vertueux dans le cœur, on puisse être ca-
| va I île de coin mande r ai i x iionmi es ce qui est bon et \ < a •tueu\\
cela est impossible et contraire a la nature des
choses.
Te Ces! pourquoi le bon ifoneei'nmicui if ce rot/nwtw
e onsiste dans ('oùiifjafiem pré al ait le de m ci ire le Oun *>edee
dans sa famille,
le Le lÀ'ère des Vers dit :
« Que le pêcher est beau et ra vissa ni f
« Q11 e so n té u i 1 i a g e e s t Henri e t abondant!
« Telle une jeune fiancé e se rendant a ia demeure de
« son époux.
1 Par au seul h o mm *' ou 111 « l i a a v 1 e / « r / n o \ , '.» /iuv..