introduction. - Notes du mont Royal

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les provinces^ on entendra Men parier de soi ; si Ton réside
dans sa famille, on entendra bien parler de soi.
21. Fan-ichi ayant suivi le Philosophe dans la partie
inférieure du lieu sacré où Ton faisait les sacrifices an
ciel pour demander la pluie f!!W//«] dît ; Permettezmoi
que j'ose voit s demander ce qu'il faut faire pour accumuler
des vi-ri us. se corriger de ses défauts» et discerner
les erreurs de l'esprit l .
Le Philosophe dit ; Oh! c'est, là une grande et belle
question î
Il faut placer avant lout le devoir de faire ce que Lon
doit faire | pour acquérir la vertu], et ne mettre qu'au
seeoiid ran^ le fruit que l'on en obtient; u"est-ce pas là
aeeuiiailer des vertus? coin bat Ire ses défauts ou ses mauvais
penchants, ne pas combattre les défauts ou les mauvais
penchants des autres: n'est-ce pas là se corriger de
ses défauts? par un ressentiment ou une colère d'un seul
nia tin perdre son corps, pour que le malheur atteigne ses
parents : n'est-ce pas la un trouble de l'esprit!
22, /''(tit-fcfti demanda ce que c'était que la vertu de
l'humanité. Le Philosophe dit ; Aimer les hommes. — Il
demanda ce que c'était que la science, 1-e Philosophe dit :
C o u n a i t r e I es h o i n m e s, /• V/ « - / /.-// /11 e | le n é t r a pas 1 e sens (î e
ces réponses.
Le Philosophe dît : Elever aux honneurs les hommes
j u s ! e s e f d i "o i t s, e t r e p o u sse r t ou s 1 e s | >e r v e r s : o n pe ni, e ri
agissant ainsi, rendre les pen ers justes ei droits.
f'\ni-t(/t*\ en s'en retournai!!, rencontra Tseit-hia, et lui
dit : Je viens de faire une visite a notre maître, et je Lai
questionné sur la science. Le maître m'a dit : Elever aux
honneurs les h o i n m e s j u > t es e I droits, et re pousst * r t o u s
les pervers: on peut, en agissant ainsi, rendre les pervers
juste-, et droit*. Uu'a-l-il voulu dire?
Tsf/t h in dit. : Oh î que ces paroles sont fertiles en appliquons
î
1 Y..\.-/. YÀfttfh 0.» ;»; lïi