introduction. - Notes du mont Royal

MEKG-TSEU. 30!
honneurs, ne suffisaient pas pour dissiper les chagrins de
fliun. Il n'y avait que la déférence de s«'.s père ef mère a
ses bons conseils qui aurait pu dissiper ses chauvins.
L'homme, lorsqu'il est jtaïue, chérit son père et sa
mère. Quand il seul naître en lui h* sentiment de l'amour,
alors il aime une jeune et belle adolescente; quand iî a
une femme et des enfants, alors il aime sa terni ne et ses
entants; quand il occupe un emploi publie, alors il aime
le pliure. Si plans ce dernier easj il n'obtient pas la laveur
du prince, alors il en rumine une vive inquiétude,
Celui qui a une grande pieté î il ta le aime jusqu'à son
dernier jour son père et sa mère. Jusqu'à cinquante ans.
chérir [son père et sa mèrej es! un sentiment de pieté
filiale que j'ai observé dans le grand (Juin,
w
2. Il L'ïx-tvhafHj continua ses ques!ions ;
Le Livre des Vers l dit :
» Quand un homme veut prendre une femme, que
< doit-il l'aire?
**
Personne ne pouvait pratiquer plus tidèlemenl ces paroles
que fit un. C/tntt rependant ne consulta pas ses parents
avant de se marier. Pourquoi cela?
Mï'\