introduction. - Notes du mont Royal

OU LES ENTBETIENS PHILOSOPHIQUES. lÔf
frère aîné qui existent encore [et qui sont vos précepteurs
naturels] ; pourquoi donc, aussitôt que vous auriez entendu
une chose, la mettriez-vous immédiatement en praficjne!
Yan-ypou (hmnmdii également si aussitôt qu'il avait
en tendu une eh ose il devaîl la nie lire immédiatement en
pratique. Le Philosophe dit : Aussitôt que vêtis lavez
entendue, mettez-la en pratique. Kony-si-ltna dit : Y mu
11'seu-tou) a d e m ai 1 c 1 é si a u ss i t ù t qu'il avait en f en du une
chose il devait la mettre immédiatement en pratique?
Le maître a répondu : Vous avez un père et un livre aîné
qui e x i st en t ei i cor e. Kh ieo u { } an -y eu u) a demandée a 11 ssitôt
qu'il avait entendu une chose 1 il devait la mettre min
i é ( 1 i a t e m e n t e n pn t t ï q u e. I A* mai t r e a répondu : Aussitot
que vous Lavez entendue, mettez-la en pratique. Moi,
Te fit. (Kony-si-hori), j'hésite [sur le sens de ees deux réponses]
; j e if ose fa î re u i ï e nouvelle question. Le Ph i 1 os< >plie
dit : Quant à Kldeou^ il est toujours dispose à rem-
I e r ; e "est po urq u oi j e L a i g 11 i 11 o n ne pour qu'il a v a i ie e ;
} 'eou a i m e à su r pa sse r le s a 11 f res hommes; e "e s ! \ m i1 rquoi
je le retiens.
22, Le Philosophe éprouva un jour une alarme dans
Kouang. Yan-youan était resté en arrière. (Lorsqu'il eut
rejoint], le Philosophe lui dit ; Je vous croyais mort :
[Le disciple] dit : Le mai ire étant vivant, comment iloeï
(} e n-yo u a n ) osera i t- i 1 mon r i r ?
23. Kï-iseu-jan 1 demanda si Tchouang-yeou et Yankh
ieo u pou v ai e n t é t r e a p p e 1 es de grands m i n i st res.
Le Philosophe répondu : Je pensais que ee serait sur
des choses importantes et extraordinaires que vous me
feriez une question, et vous êtes venu me parler de Y cou
et de Kl d eou î
Ceux que Ton appelle grands ministres servent leur
prince selon les principes de la droite raison (et. non se-
> Fils puîné de Ki-vhi. qui, par la ;jrawW puissiU'ice que >a famille
avait acquise. a\aîî fait [j-jouiii-r -••?.- aVux lsï> njïiieftvs.