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dévouées à tes fantasmes, chaque nuit ! Et tu oserais refuser à<br />

l’une d’entre elles un tout petit caprice ?<br />

— Bon..., concédai-je, dompté. C’est quoi, ce caprice ?<br />

— Il existe une façon de décupler les sensations d’une<br />

femme nantie d’un large orifice. Cela n’accroît pas le zab en luimême,<br />

mais juste le... comment appelles-tu cette partie<br />

arrondie qui se trouve au bout ?<br />

— En vénitien, c’est la fava, le gros haricot. En farsi, je crois<br />

qu’on dit la lubya.<br />

— Très bien. J’ai remarqué, évidemment, que tu n’étais pas<br />

circoncis, et c’est tant mieux, car ce raffinement ne peut être<br />

pratiqué avec un zab circoncis.<br />

Elle me montra, ceignant mon membre de sa main et tirant<br />

en arrière la peau du prépuce aussi loin qu’elle pouvait aller tout<br />

en enserrant un peu plus fort sa base entre ses doigts.<br />

— Tu vois ? Ton gros haricot enfle, visiblement.<br />

— Oui, mais ce n’est pas spécialement agréable, je te signale,<br />

et ça fait même mal.<br />

— C’est très bref, Marco, cela reste donc supportable. Tu<br />

n’as qu’à le faire juste au moment où tu t’introduis. Shams<br />

assure que cela procurera aux lèvres de son mihrab la délicieuse<br />

sensation d’être écartées. Comme une sorte de viol ardemment<br />

désiré, selon ses propres termes. Les femmes adorent cela,<br />

paraît-il. Encore ne le saurai-je, pour ma part, que lorsque je<br />

serai mariée.<br />

— Dio me varda, marmonnai-je.<br />

— Et, bien sûr, il va de soi que tu n’auras pas à le faire toimême,<br />

risquant ce faisant de toucher l’horrible corps de<br />

Lumière. Elle pratiquera ce petit étirement grossissant par ellemême,<br />

avec sa propre main. Elle demandait juste ta permission.<br />

— Mademoiselle aurait-elle encore envie de quelque chose ?<br />

crachai-je d’un ton acide. Dis donc, pour une créature<br />

monstrueuse, elle a l’air sacrement tatillonne !<br />

— Non, mais je rêve, vous entendez ça ? se gaussa encore<br />

Phalène. Te voilà dans une compagnie que tout homme<br />

t’envierait, avec des créatures de sang royal qui t’enseignent des<br />

pratiques sexuelles que la plupart ignorent... Tu nous seras<br />

reconnaissant, Marco, le jour où tu voudras faire jouir une<br />

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