Примењена лингвистика у част Ранку Бугарском - Језик у

Snežana Gudurić: POUR UNE TYPOLOGIE REDÉFINIE DES PHONÈMES SERBES...
Bien qu’une telle réalisation acoustique décrive un son tout à fait différent,
psychologiquement les locuteurs participant à une communication directe
restituent le son [r].
Les unités latérales ton-bruit doivent leur sonorité au passage libre du courant
de l’air à travers la cavité buccale des deux côtés de l’obstacle. Une articulation
de son complète sous-entend l’élimination de l’obstacle localisé sur les alvéoles ou
sur le palais dur. Dans la langue serbe [l] et [ʎ] appartiennent à ce groupe.
Si on compare les images spectrales de la latérale apico-alvéolaire et celle
de la latérale palatale, on ne trouvera pas de grandes ressemblances. Le premier
formant du son palatal décline et le deuxième augmente par rapport au son apicoalvéolaire
chez lequel le premier formant est un peu plus élevé et le deuxième
fortement plus bas par rapport à la variante palatale. L’image spectrale de la latérale
[ʎ] rappelle tout à fait certaines des réalisations du son [j], alors que la
segmentation et l’audition de sa partie stabilisée ne donneront pas l’impression
acoustique d’un [ʎ] articulé. Pour que le son soit complètement et correctement
perçu dans le fragment, il faut insérer les transitions qui font partie intégrale du
spectre de ce son.
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a l a
3. Sous-ensemble des bruits
a ʎ a
Fig.7. Images spectrales des séquences [ala] et [a ʎa]
On peut distribuer les bruits qui appartiennent à ce sous–ensemble en trois groupes:
a) celui des occlusifs, b) celui des turbulents et c) celui des bruits combinés. Les
membres de tous ces groupes se trouvent en rapport de symétrie presque parfait exprimé
par des paires binaires qui sont au nombre de trois dans chaque groupe :