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Ï£ ESSAIS DE MICHEL DE MONTAIGNE; ^
TTEUR;& PAR L'ACTEUR, CONFECUTIUEMENT TOUT VN PEUPLE. C'EFT L'E
LURE DE NOS AIGUILLES FUFPENDUËS L'VNE DE L'AUTRE. DÉS MA PREMIÈRE E
Foepe de Montai- FANCE, LAPOËFIE A EU CELA, DE ME TRANFPCRCER Se TRANFPORTER. M
gne quelle. REFLENTIMENT BIEN VIF, QUI EFT NATURELLEMENT EN MOY, A EFTÉ DIUERFC
MENT MANIÉ PAR DIUCRFITÉ DE FOTMES,NON TANT PLUS HAUTES Se PLUS BA
FES, CAR C EFTOIENT TOUFIOURS DES PLUS HAUTES EN CHAQUE EFPECE, COM
DIFFÉRENTES EN COULEUR.PREMICREMENT VNE FLUIDITÉ GAYE &INGENIEUFE:
DEPUIS VNE FUBTILITÉ AIGUË Se RCLEUCC. ENFIN, VNE FORCE MEURE & CON
louange de Cato». LIANTE, L'EXEMPLE LE DIRA MIEUX. OUIDC,LUCAIN, VIRGILE. MAIS VOILA
N _ ,. NOS GENS FUR LA CARRIÈRE.
Que Caton foit toute ^ . . . r \ , ^ r
ùvic, plus grand que Sit Cato dum vimt fane vel La are maio
le mefme Ceur, tdmt. '
M e. DITLVN: J
EtCawnindomtabie, "&inuiiïum deuiéla morte Calonem
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FAUTRE.E T PAUTRC,PARLANT DES GUERRES CIUILES D'ENTRE CEFAR & POM
des Dieux, De cele de — t • r r i i • 1 C
caton ic vaincu s'au- ET LE QUATNEIME LUR LES LOUANGES DE CARLAR :
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toS «'qu'on voldTur Prêter dtroccm animum Catonis.
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^ RAALFTREDU CCEUR,APRES AUOIR EFTALÉKS NOMS DES PLUS GRANDS RC
caton. Hor.t.j. MAINS EN FA PEINTURE, FINIT EN CETTE MANIÈRE :
S:ISKÏ bis dantem iura Catonem.
Comme nous pleurons £