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LIVRE SECOND. 34?
J confiera domï catulorum blanda propago PAU IXTUÎL
R Dcvere 3 Cape leuem ex oculis volucrémque foporem chiens, qu'on noumt
-r-»-R) r . n EAFAMCIS, iecoiier par
p: Jjilcutere 3 ty corpus de terra compère mftant 3 foi.de i CUr yeux IEFBM-
\ r> • J r- J. ,C '„ nieil volant, &s"efror-
Pmnde quafi ignotas jacies atque ora tueantur. cet d arracher levas
:tl[ Quant à la beauté du corps, auant palier outre, il mefaudroit fçauoir "[F^SWI^TTC*
i finousfommcsd'accorddefadefcription:Ileftvray-femblableque fl01its
&d«VIFas>esin- JH nous ne lçauons guère, que ceft que beauté en nature &cn gênerai, B e a u t é
JIL puifque à l'humaine & noftre beauté, nous donnons tant de formes
. J diuerfes : de laquelle,s'il y auoit quelque preferiptio n naturelle,nous
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I larecognoiftrions en commun, comme la chaleur du feu. Nous en
II fantafions les formes à noftre appétit.
EILCF T-> •_• D D / • „ / LE teint blanc des Fia-
Turpts Rpmano Belgicus ore color. m
n ( n c fied Pas au vi-
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! Les Indes la peignent noire &bazanée,auxleuresgrolTes & enflées, ^'.
au nez plat &laro;e:&charp;ent de p;ros anneaux d'or le cartilage d'en- „ r ,.
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tre les nazeaux,pour le taire pendre îulques a la bouche ^omme auiîi
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la balieure, de gros cercles enrichis de pierreries, fi qu'elle leur tombe
'* fur le menton, & eft leur grâce de monftrer leurs dents iufques au
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rr Beauté des Indiens.
delfous des racines. Au Peru, les plus grandes oreilles font les plus Grandes oreilles,
belles,ôd es eftendét autant qu'ils peuuent par artifice. Etvnhomme extrême point! de
d'auiourd'huy, dit auoir veu en vne Nation Orientale,cefoing de les ^ a
agrandir, en tel crédit, & de les charger de poifants ioyaux ; qu'à
tous coups il paffoit fon bras veftuautrauersd'vn trou d'oreille. Il
eft ailleurs des Nations,qui noirciffent les dents auec grand foin,
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&ont àmefpris de les voir blanches : ailleurs ils les teignent de cou- Blancheur des dents
leur rouge. Non feulement en Bafque les femmes fetrouuent plus mefj>r,fee.
belles la tefte rafe, mais affez ailleurs ; & qui plus eft,en certaines con-
i 1 • J i- r»ï- T xi • i Fcmmesrafes.
trecs glaciales, comme dit Pline. Les Mexicanes content entre les
beautez, la pctiteffe du front, & où elles fe font le poilpar tout le re-
B e a u t U e
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NI N< • rr r n I „ nés , en La petite je
( lté du corps, elles le nourrillent au front, & peuplent par art: &ont ^ y rom ^