f - Brasiliana USP

DE CHACUN DES LIVRES HIPPOCRATIQUES EN PARTICULIER. 417
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Dans tous les cas, ce hvre, que les critiques anciens ont
ignoré ou négligé, n'appartient point à Hippocrate.
Paômi les opuscules que je vfens d'énûmereh un seul a.
peut-être un témoignage en sa faveur, c'eskeelui sur Y Excision-du
fœtus, auquel il est possible que le mot cité dans
Érotieji et Galien doive être rapporté. 4Sur lesvâutres un si-,
lencaabselu a été*gardé par les critiques anciens. Néanmoins
il n'enfaudraîi pas conclure que ce sont desj compositions
postérieures à Erotien et à Galien. Ges opuscules portent,
eh'effet, un caractère dfencienneté qu'il n'est guère
possible de méconnaître ; et Pop Y,cflt encore, dans quelquesuns,
par exemple l'opuscule sur le Médecin et celui sur la
Copiduitè honorable, des traces de relation a^ec.d'autres œuvres
de la Collection hippocratique. ,
Mais il n'en est plus de même des morceaux qui vont suivre.
Ceux-ci sont certaijement.des compositions *jj5Stcmeures
à Erotien et^ Galien „et le produit de compilations faites
à une époqlie ignorée, mais très tardive; C'est un fait que la
découverte de la traduction ignorée d^u .traité des Semaines
m'a permis d'établir^d'une manière incontestable. J'ai forjné
la dixième classe dans la Collection hippocratique à l'aide
d'une seule considération', à savoir que les opuscules qui la
composent n'ont été cités par aucun critique ancien. Mais,
cela admis, elle sexjivise naturellement en deuxséries, l'une
t* , » «
(je viens d'en parler) qui comprend des traités, non cités, il
est vrai, mais que l'on reconnaît anciens à des caractères
intrinsèques. ; l'autre ( je vais en parier ) qui renferme des
compilations, faités*dans un temps très postérieur à GaHieh.
Le livre* de la Natyre de la femme, que j'ai placé à la/in de
la première série, sert de transition ; car je ne sais si c'est
une compilation ancienne ou une compilation moderne.
HUITIÈME SECTION DES APHORISMES. Cette prétendue
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