f - Brasiliana USP

DE L'ANCIENNE MÉD'CINE. 625
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vedleuseniotit ceux à qui il convient; il en est, au contraire ,
qui ne le digèrent que difficileihetjfc Les constitutions dés uns"
•et des autres ^diffèrent donc , et elles diffèrent en ceci': à savoir
que Khumeur qui,'dans le corps , ne compatit.pas avec
le fromage, eâWéveiilée et mise en mouvement par cette>substance.
Les natures chez lesquelles une pareille humeur est
si(**abondante et prédominante., doivent naturellement souf- *
frir davantage de ce^-djiment ; mais s'il était! malfaisant-pour
la constitution humaine tout entière, il nuirait à toupies
hommes. Donc, connaître ces propriétés diverses, ce'serjàttt J
savoir se préserver des maux qu'elles causent. i^X 1
21. Dans les convalescences et dans.les maladies qui durent
long-temps , il survientSçSLperturbations fréquentes , les
unes spontanément, les autres >par des choses fortuitement
administrées. Si, le jour même de ces perturbations, le hasard
veut qu'il y ait eu quelque innovation , par exemple, un
bain, une promenâlle , un mets différent, toutes choses qu'il
vaut mieux avoir faites que n'avoir pas faites, je sais que
néanmoins la plupart des médecins , comme le vulgaire, attribueront
à ces choses le trouble survenu , ignorant la vi*aie
cause et -proscrivant ce qui peut-être est le plus utile. C'est
une faute ; car l'on doit savoir les effets d'un bain donné mal
à propos et "ceux ,d'un exercice inopportun ; jamais le même
xa! 2253. — ' 9 xcù; TTOXXOÙÇ tY)Tpou;,' iosnep t. 18.' 2,255. — 20 vii/ipav
22*53. - -xatvoupyw-arEç 21 40, 2142, 22 55. — 2I r, pro (bç.2253
22 ETEpoîtov
2253. — 23 iravTwç èvavTiaç pro irâvTa Mercur. in màlrg. X 2 * où­
Sèv 22 53. - TOÛTMV 2253, 2144 et 2141 en glose. —avaTtÔÉVTEÇ *2145,
2255.— 25 xa! TO p.. 2253.-âyvooûvTaç 22 55.- ffU[j.'p-jp(ûTaTJv2145.- crju.o.
ctet.— 2S Sic 2253. — oS-kwç xùxuortv vulg.et al. codd. Les deux leçons sont
bonnes*; celle de 2253 me paraît cependant préférable.. Si l'on gajdeTUx'os'V,
il faut traduire : exposés à proscrire ce qui est le plus utile. Of^ Hippocrate
a dit qu'ils, attribuent le mal-souvent à ce qui a été fait, par conséquent
ils proscrivent ce qui a été fait; il est donc mieux de lire ruyr, avec
2-253, et de dire qu'ils proscrivent ce qui peut-être est le plus utile. •—.
2
7 2142,,2143, 2141*' 2145, 2140. -àœàvîaavTEÇ vulg. et al. codd. •—
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