Correspondance des réformateurs dans les pays de langue française

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FRANÇOIS I AUX CONSEILS DE ZURICH, BERNE, BALE, ETC. 191
sum, cum nostro contulimus, à quo nihil penitùs nisi brevitate
differt M.Eum Lausannam mecum nuper tuleram, quoniam spes
erat Bernam quoque me profectunim15.Mihisatins videtur expectari
conventus diem, quo per ocium coràm commentabimur. Tu
et de eo et de Synodi indictione scribere, quaeso,ne graveris I6,cui
intéresse nostri non detrectabunt.
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FRANÇOIS i aux Conseilsde Zurich, Berne, Bâle et
Strasbourg.
De Compiègne, 20 février 1537.
[néilite. Manuscritoriginal sur vélin. Archives de Bàle.
Réponse du Roi aux Villes évangéliques, qui l'ont fait prier de ne pas
imposer une abjuration aux Français fugitifs poia- la religion et qui voudraient
rentrer dans leur patrie.
François, par la grâce de Dieu roy de France,
Très-chers et grans amys! Nous avons entendu ce que voz ambassadeurs
Nous ont dit et déclairé de voz partz, touchant ceulx
re SimonMoreau n'y vint que
plus tard, et qu'il ne fut jamais invité par le Conseilà traduire des pièces
allemandes.
14La liturgie usitée dans Véglisegenevoiseétait, selon toutes les vraisemblances,
celle de Farel, publiée à Neuchâtel, le 29 août 1533, sons
le titre suivant « LaManière et Fasson qu'on tient en baillant le sainct
baptesme. ès lieux que Dieu de sa grâce a visités. » Nous avonsconstaté
que la liturgie bernoise offreles plus grands rapports avec la Manière
et Fasson, et qu'elle en diffèreseulementpar la brièveté.
18Calvin dut préalablement retourner à Genève,d'où il écrivit la présente
lettre. Mais vers la fin du moisil partit pour Berneet s'adjoignit
Viret en passant à Lausanne.
18Nous ignorons si Meganderrépondit à Calvin.