Correspondance des réformateurs dans les pays de langue française

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[W.-F. CAPITON] A GUILLAUME FAREL, A GENÈVE. 1S3&
nostre vouloir et commandement que [vous] vous préparés sur
cella, affin, quant le temp viendra, vous exercés, avecq les aultrestrois
3 par nous députés, l'office à ce requis et nécessaire. Datant
vu Augusti 1536.
L'Advoyer
ET CONSEIL DE Berne.
(Suscription :) A Monsieur le Docteur Fabri, chanoine de Lausanne,
nostre bon amy.
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[w.-f. CAPITON *] à. Guillaume Farel, à Genève.
(De Strasbourg t, vers la fin de septembre 1536 \)
Inédite. Autographe. Bibliothèque des pasteurs de Neuchâtel.
Sommaire.Les églisesmissesregrettaient dene pouvoirtraiterdirectement avecle
roide France.Il y a cependant [autourde lui]beaucoupd'Amescharitablesbien. desgenss'intéressentparticulièrement ausortderasfrères[persécutés]. Lemoyen le plussimpleseraitdoncd'écrireaucomteOv.ilXav.me [deFurstemberg]. Je saurai
bientôtsi lefrère en questionpourraitsechargerde fairetenirla lettre.
Il y a consenti,et il a reçudesmainsdubourgmeistre la lettrequej'avaisécriteau
nomde celui-ci.
Exciderat hoc Helveticœ ecclesiœ querebantur, sibi non [esse],
occasionem agendi eum Gallo et tantùm per illius legatos, si
8 Les trois autres présidentsétaient Pierre Giron,secrétairede Berne,.
Nicolas de Waiteviïle,frère de l'Avoyer, et Gérard Grand, docteur ès
droits et conseillerde Lausanne. On lui adressa une lettre de la mêmeteneur
que celle-ci (VoyezRuchat, IV, 183).
1 Cette lettre non-signéeest certainement de la main de Capiton-
Elle formait le complémentd'une épitre qui u'a pas été conservée.
Voyez la note 9.
» Voyez la note 7.
4 Les cités évangéliquesde la Suisse n'ayant pas de représentant accrédité
auprès de François I, étaient contraintes de lui envoyer des ambassadeurs
chaque fois qu'il s'agissait de traiter directementavec lui.
Elles regrettaient qu'il n'y eût pas, à la cour de France, un personnage