Hyperlien - Les Classiques des sciences sociales

d9audiom4trfe tonale au casque et en champ libre et dysudiam~trk
vocale S.
QUE WULENT DIRE LES TEXTES
lifs demandent clairement que k swezmce médicafe des enfants
atteints de déficience auditive grave, suivis dans ces établissements,
soit assurée par des médecins compétents en mati&re de surdité
de l'enfant. Cette compétence est garantie par la spkinlisation
QRL et la compktence en phoniatrie. Nous avons vu plus haut que
cette double exigence risque d'être trop contraignante en certaines
circonstances aujourd'hui. Mais elle doit conduire à une politique de
formation adéquate pour que les besoins de l'ensemble du territoire
sait couverts. Comme nous l'avons dit plus haut, il faut pour ces
postes des ORL suffisamment au courant de tous les aspects des
problèmes de communication et notamment de langage des enfants
sourds, et des phoniatres suffismment au courant des probl&mes
concernant l'audition, sa physiologie, ses modes d-loratioar, sa pathologle
et sa correction.
Le texte du dwet prévoit, dès son article 2, ia suweillance m4-
dide de f'enfant et de son handicap dans le cadre de lPtstabEssement
et précise gfobalement les modalités de cette surve~mce. Le rBIe du
mbdecin est donc essentiel dans cette surveillance.
Mais son rate doit dgbrder ce que prévoit fe texte : If doit imposer
B I'eqtlipe et 2t Padrnsstration la nation du libre ehok du m&
d& traitant et savoù-, si fa famille le souhaite, assurer b contact
avec le mkdecin extérieur à l'étabüssement (hospitalier ou privé), si
les conditions requises de qualification sont respectées. Ii doit aussi,
si la surveillance médicale de l'enfant est exclusivement assurçSe dans
l'tstablissement, obtenir que la f d e soit associée aux différentes
étapes de cette surveillance en assistant aux consultations, aux décisions
quant à la thérapeutique et l'appareillage, Cette participation
de la famille au suivi médical, l'impliquant dans la dbmarche thQa-