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CE QUE LES TEXTES NE DISENT PAS Les rbfiexions que nous inspire le texte de l'annexe XXIV quater sont ECes à notre expérience personnelle de l'audiophonolo~e~ de la pratique de mkdeein audiophonolo&te dans un établissement de ce type et à notre participation aux travaux qui ont conduit B l'6laboration du texte, C'est dire que nous sommes impliqués à plus d'un titre. Mais, autant ce qui est dit dans les textes est important et orientera fe fonctionnement des btabgssements, autant ce qui n'y est pas dit doit être précisé par ceux qui ont vécu les situations. Xfn texte ne peut déerife la vie quotidienne d'un étabüssement, lies relations qui se nouent entre les participants à cette entreprise, les reunions de synthèse qui rfiunissent l'équipe dans son ensemble ou en rbunions partielles, les apports rkiproques de chacun & la formation de l'autre, le mode de relation avec les familles et les enfants, l'organisation des réunions avec les parents, ou de réunions entre parents, l'information donnée aux enfants sur leur surdité ou leur devenir. Tout ceci est absent d'un tel texte et il ne pourrait en être autrement. Cependant, dans chacune des situations ahsi pr&cisCes, le médecin a son rale à jouer. A lui de savoir le faire avec tact et discrimination, de savoir donner son temps autant qu'ii le peut, de savoir « apporter ,> sans imposer une prfi6minence qui n'a pas cours dans une équipe pluridisciphaire de ce type, de savoir toucher à tous les domaines de sa compfltence sans empiéter sur ceüe des autres, de savoir écouter pour savoir trancher. La surdité de f'enfant est une affection particulièrement grave de Ia pathologie infantile. Ses conséquences d6coulerit de l'altération d'une fonction prhordiale de notre vie de relation, l'audition, dont la principale est f'impossibilit6 à acqufirir le langage oral. Tous les moyens de pallier ce-handicap, toutes les méthodes de rééducation et de pgdagogie spéciale, ne peuvent qu'utiliser ies aptitudes qui lui restent pour surmonter ses difficult6s. Le rôle du médecin est d'apporter ses capacités et ses connaissances dans ce but.
Il lui faut donc savoir penser en médecin (c'est-à-dire intégrer le problème à traiter dans la globalité de l'individu à étudier), raisonner en médecin (c'est-&-dire dans une d6marche rigoureuse d'analyse de la situation, d'évaluation des données, de décision du choix thdrapeutique en fonction des étapes prtkédentes, et de critique et de mise en cause permanente de sa méthodologie selon les résultats obtenus), mais aussi connaître ses limites et accepter cette notion de pluridisciplinarité qui est l'essence même de l%udiophonolo~e,
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CENTRE TECHNIQUE NATIONAL D'ETUDES
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PWFACE ............................
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par Patrice LEGRAND sous-directeur
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f'alphabétisation et le climat soc
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Le çertifïat du demibme degres de
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Trois pages des instructions du 24
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L'étabEssement doit assurer une mi
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Des exemples de l'efficacité de l'
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LES IWERVENANTS soums LYAssernUée
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Ces signes ne constituent pas une m
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des termes qu'il contient. Le texte
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DES PSYCHIATRES ET DES SOUmS... ET
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