Hyperlien - Les Classiques des sciences sociales

a) pour l'intégration
- hsertion d'une classe (ou d'un groupe) dans un étabfissement
ordinaire ;
- intégration des enfants pour toutes les activités autres que la classe
(repas, clubs, récrbations, plein air..,) ;
- intdgration des enfants dans les activités sportives et artistiques ;
htdgration des enfants dans toutes les activités sauf le français ;
- htçillation totale avec soutien ;
- htégration sans soutien mais avec bterprète (dans le secondaire et
le superieur par exemple) ;
- &tégrarion dans des structures spéciaEsbes destinées aux entendants
(S.B.S. notamment).
Encore faudrait-il davantage nuancer selon que l'on parle d'htntégration
au nivau maternel, prhaire, secondaire !
b) pour lbrafisme
On a conçu historiquement, et l'on peut encore concevoir, divers
cas de figure :
- selon la rigueur du principe dBun&guisme : si de tout temps I'usage
de communications gestuelles, entre les élèves et hors de la classe,
dtait plus ou moins tacitement toléré, il existe en 1984 des holes -
celles qui pratiquent la méthode verbo-tonde par exemple - oQ les
enfants sourds ne connaissent aucun signe cudd et communiquent
exclusivement par la parole et Ie mime spontané,
On peut trouver dans fa situation oraliste actuelle tous les degres
de toldrance l'égard du langage gestuel depuis I'ignorance totale
(voire l'ùrterdiction) jusqu'à une coesstence pacifique - sans que
i'on puisse pour autant parler d'éduation bitingue.
- selon les méthodes d'enseignement du français. En simplifiant grossièrement,
on peut opposer une mkthode c< des instituts * sujette
elle-même ii de nombreuses variantes selon les établissements, une
méthode verbo-tonde pratiquée dans certahes classes de 1'Eduation
nationale et la pédagogie d'adqtation des maîtres CAEI (des