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la vie. Dès. silos, prMqiiéJsdmns^l!iMêri!ëiaï;b^ia%herAus6it!|t que
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tous ses préparatifs Te rtcrap^ éù%-bloeûs:;et, dès
qu'elle est tombée, on ne SOTtjpiùsiUnidé.ïiQsinforma-
teurs kabiles, étant en. fut amasi -sùrprès par le
mauvais temps dans une maisoni.omda.néîge Tavait tenu
enfermé durant six jours ; il ajoutait , cependant , qu'une
circonstance :l'avait consolé, de c».«ontre-temps : c'était
la compagnie- d'une jolie femme qui partageait sa cap
tivité. Un dernier fait peut encore faire apprécier la
hauteur de la chaîne du Kendirou : les femmes des
Beni-Slîmân ont la réputation d'être, en général, fort
belles , mais elles ont le teint très-coloré ; « elles sont
rouges'xomme du corail, « nous disait un voyageur,
.
.
et il
attribuait cette particularité aux températures glaciales
de leurs
montagnes1
On peut résumer ce qui précède par les faits géné
raux suivants :
1° La ligne de faîte orientale de la Kabilie se com
pose d'une série de hauteurs placées sur des lignes sen
siblement parallèles au cours de TOuad-Akbou. L'une
d'elles traverse le pays des Beni-'Abbês; l'autre com
mence au Bou-Chiouân, dans le Zammôra,
et se pro
longe de sommet en sommet jusqu'à la zaouïa de Bou-
M. le commandant Bérard , dans sa Description des côtes de l'Al
gérie, donne des hauteurs de 1680 et i6go mètres à deux sommets
de cette région ,
dirou.
sommets qui ^doivent être
le Bou-Andâs et le Ken