liste des sigles utilises - Institut Agronomique MÃ©diterranÃ©en de ...

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l'installation du projet en 1979, les éleveurs de la région sont majoritairement des éleveursFulbe qui pratiquent une agriculture vivrière d'appoint. L'alimentation de leurs troupeauxrepose presqu’exclusivement sur les fourrages naturels au travers de la transhumance,c’est-à-dire sur la valorisation des complémentarités écologiques à l'échelle de la région.L'intégration intensive entre une activité agricole et pastorale souhaitée par le projet necoïncide pas avec la réalité pastorale de la zone d'étude. Entre 1979 et 1985, le projet facilitel'accès à l'élevage pour les agriculteurs qui acceptent de coopérer dans la réalisation de sesobjectifs.2. 3. 1. b - La stratégie du projet, des cultures fourragères à l'engraissement du bétailPour le développement de l'élevage de la région, le projet veut organiser des semisfourragers de saison des pluies. Il s'agit de démontrer aux agriculteurs pourvus de bétail quela commercialisation des animaux nourris avec les produits fourragers de leur champ vaentraîner une augmentation rapide de leur revenu. Les essais de semis fourragers du projetse soldent par un échec, à la fois en raison des sécheresses entre 1980 et 1984 et desrésistances sociales locales. Les champs d'essai sont plusieurs fois dévastés.L'idée sous-jacente à la démarche du projet est qu'il suffit de posséder peu d'animaux pouraccroître son revenu, à partir du moment où une exploitation rationnelle de ce bétail reposantsur la mise en valeur des complémentarités entre l'agriculture et l'élevage est mise en place.Avant l'introduction des semis fourragers, un essai d'engraissement du bétail est mené par leprojet dans ce sens, à partir de mélanges de résidus des cultures et de tourteaux de coton.La main d'oeuvre employée pour cet essai est locale. Les résultats donnés par les analyseséconomiques sont probants 165 . Le fourrage local peut être utilisé de manière profitable pourl'engraissement à court terme des animaux.Cette stratégie d'élevage n'est intéressante pour les exploitants que si elle offre desdébouchés immédiats sur les marchés pour les animaux engraissés. Pour le projet, lacommercialisation du bétail est une des activités économiques principales de la région dontle bétail constitue la ressource économique principale 166 . Plusieurs marchés à bétailimportants, ceux de Moulvoudaye, Bogo et Doumrou se trouvent dans un rayon de 30 km dela zone du projet. Une étude est menée sur la commercialisation du bétail dans la zoned’action du projet. Elle insiste sur le fait que le plus grand pourcentage d'animaux échangés165 Gipe D.G., 1981. L'essai d'engraissement du bétail. Projet de développement agro-pastoral au nord duCameroun, USAID (631-0004), p. 7166 Schar H., 1981. Perspectives sur le futur du commerce du bétail dans l'Etrême-Nord du Cameroun.Projet de développement agro-pastoral au nord du Cameroun, USAID (631-0004), p. 867
sur les marchés est ensuite destiné à être revendu 167 . Cette caractéristique met en valeurl’importance des pratiques de spéculation sur le bétail. Cette étude met également l'accentsur l'absence de valorisation économique du cheptel bovin par les éleveurs locaux. Laressource bétail demeure sous-exploitée. Vers 1981, la portion de bétail réellement venduepar les éleveurs de la zone du projet ne dépasse par 6% de leur effectif 168 .Nous essayons d'évaluer les effets du projet à l'échelle de quinze années et au travers desrésultats donnés par les enquêtes.2. 3. 2 - Résultats des enquêtes et impact du projet2. 3. 2. a - Une association étroite entre les activités agricoles et d'élevageRétrospectivement, le projet a stimulé le transfert de propriété du cheptel des mains deséleveurs à celles des agriculteurs. La combinaison avec un contexte climatique et sanitairedéfavorable aux animaux a renforcé cette tendance. Le projet voulait valoriser les semisfourragers dans le cadre d'une stratégie d'association entre les activités agricoles etd'élevage : quinze ans après son retrait, d'autres complémentarités entre les deux activitésse sont développées à propos des stratégies d’alimentation du bétail en saison sèche.La place du muskwari dans cette complémentarité apparaît au premier plan. Cettecomplémentarité est à la fois écologique et économique : les troupeaux fument les terres eten consomment les résidus ; les cultures pratiquées facilitent l'alimentation des animaux.Lorsqu'elles sont commercialisées, les revenus tirés de la vente peuvent être stockés sous laforme de bétail sur pied. Des nouveaux échanges monétaires apparaissent, notamment dansles ventes et les achats systématiques des tiges dans les villages.2. 3. 2. b - Des ventes de bétail toujours liées aux besoins en liquiditéDu point de vue de la commercialisation du bétail, les enquêtes montrent que la plupart desagro-éleveurs déstockent une petite partie de leur troupeau pendant l'année. Ces ventes sontliées à des besoins en liquidités : l'achat de céréales pour la soudure, le paiement desimpôts, les frais occasionnés par la maladie et par les fêtes 169 . Pour l'année 1997, 84% desagro-éleveurs de l’échantillon vend au moins un animal sur les marchés de la région. Ces167 Schar H., 1981. Op. cit., p. 4168 Schar H., 1981. Op. cit., p. 4. Cette estimation est la seule dont nous disposons. Il s’agit des ventescommerciales.169 Un mariage entraîne la vente de plusieurs têtes de bétail : la dot, les dons en bétail ou le sacrifice d'unou plusieurs animaux qui seront mangés.68
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LISTE DES SIGLES UTILISESBPL : bien
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jaoro ou jawuro : chef de quartierj
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INTRODUCTION GENERALE“ Un nomade
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l’alimentation des troupeaux pend
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La problématique de la recherche p
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économie institutionnelle comme ce
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PREMIERE PARTIE : L’ELEVAGE, LA T
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consiste à examiner les modèles d
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Encadré 3.5 : deux « arrangements
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Tableau 3.2: nombre d'étapes par i
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empruntés par le bétail qui suit
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jaawol : au début de la saison fro
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écoltés. Pour atteindre l'entrée
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3. 2. 2. b - L'intervention des aut
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Logomatya. La permanence du pastora
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demeure importante à l’échelle
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et l’examen de plusieurs études
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Section 1 - Capacité de charge et
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Dans le cas des pâturages et des t
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“ [Carrying capacity] is the maxi
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- celle de la capacité de charge
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Section 2 - L'usage bio-économique
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La condition de production répond
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modèle, la production issue de l'e
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“ Chaque individu contribue volon
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“ How do real-world clubs operate
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CHAPITRE V - ECHANGES HORS MARCHE E
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moitié du XVème siècle et au dé
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“ C'est la baisse du taux de prof
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“ La quasi-rente, [est] conçue c
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Si l’excédent de produit qui for
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écologique des pâturages sahélie
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- le nombre de tours est fini et co
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si x animaux sont rajoutés au-del
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“ Dans le dilemme du prisonnier,
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Section 3 - Outils conceptuels d'in
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coûts est devenu insupportable, la
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3. 3. 1. c - Conclusion : hypothès
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Les modèles multi-agents (SMA) son
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Conclusion de la sous-partie 2Les p
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Conclusion de la partie IIl y a au
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et :“ The study of the peasant ec
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Introduction de la partie IIL’ét
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Sous-partie 3 - JuMel, ou la collab
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Dans JuMel, c’est le jeu des coû
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Section 1 - L’outil SMA et ses us
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Ces structures stables et inattendu
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1. 1. 2. b - Actions et interaction
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Un second modèle, Shadoc, étudie
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1. 2. 2 - Le SMA, une articulation
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1. 1. 3. c - ConclusionLes expérie
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La problématique de JuMel articule
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“ En savanes, le bétail contribu
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Ces hypothèses ont des conséquenc
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contractualisation et les règles i
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Les conditions proposées par Ostro
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2. 1. 1. c - ConclusionLa structure
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La conception des coûts d'accès d
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La dimension cognitive des agents
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Cette réciprocité renvoie à la n
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ConclusionLe SMA est un outil de l'
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CHAPITRE VII - JUMEL, UN MODELE D
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Encadré 7.2 : la négociation des
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ne débouche pas forcément sur une
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se fait par l'établissement d'une
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appartiennent pas à titre privé.
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Dans les simulation moindre coût,
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Tableau 7.3 : résultats des princi
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constantes ou routinières avec que
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acquire knowledge and learning, to
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endent dans trois villages à chaqu
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2. 3. 2. a - Des interactions déce
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ConclusionDans le cas des échanges
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pour les ressources communes quand
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susceptibles de varier d’une coll
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Section 1 - Les conditions précolo
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jangali ainsi que des droits de pâ
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début du XXème siècle. Dans ce r
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esoin de chevaux (...) Cela corresp
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Tableau 8.2 : comparaison des princ
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"Les Peul de brousse constituaient
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les Grassfields et pour le Nigéria
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inoccupées depuis plus de dix ans.
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Encadré 8.1 : création et modific
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- De recouvrer les impôts et taxes
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is of fiscal origin. Among fiscal r
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- mais au plan fiscal, la pratique
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Dans la région de Mindif, l'impôt
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Une taxe sur le droit de pâture de
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ConclusionL’étude des données c
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obtenus indiquent qu'il existe une
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Pour 85% des éleveurs de l'échant
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Le tableau 9.2 ci-dessous qui crois
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Le troupeau est l’assiette la plu
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laquelle est constatée l'existence
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Encadré 9.4 : les montants de pré
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Les femmes des campements, lorsqu
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Pour l’étude des économies prim
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démarche qui ne laisse aucune pris
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ConclusionA partir des résultats d
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CHAPITRE X - RECIPROCITE ET CONFIAN
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Section 1 - Confiage et gardiennage
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mensuels monétaires sont proches e
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Dans les contrats de travail observ
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pas au hasard : il doit être recom
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Les risques encourus par le propri
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Section 2 - Confiance et réciproci
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entretient symboliquement l'entente
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l’organisation des échanges, sur
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Le groupe actuel pastoral et solida
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Le prêt de bétail ou habbanae con
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ConclusionL'étude menée sur les b
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Conclusion de la partie IIDans le m
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La possibilité de tels échanges e
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églementation, de leur organisatio
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Les contrats d’accès aux pâtura
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communs que le principe de minimisa
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BIBLIOGRAPHIE CITEEABBADIE L., LEPA
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TURNER M.D., 1999. « The role of s
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Tableau 4.1 : une classification de
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LISTE DES ENCADRESEncadré 1.1 : la
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LISTE DES SCHEMASSchéma 2.1 : deux
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ANNEXESAnnexe 1 : Les figures et le
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Figure 1 : La région de l’extrê
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Les politiques d'hydraulique pastor
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La répartition des ressources natu
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2. 2. 4 - L’élevage, une richess
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Schéma 1 : Le Cameroun en Afriquea
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ConclusionLe projet agropastoral de
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Tableau : les trois sites pastoraux
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usages alternatifsparticularités-
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SCHOLTE P., MORITZ M., KARI S.,1995
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ANNEXE 4 : ELEMENTS DE CHRONOLOGIE
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Au XIIIème siècle, la province du
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territoire se réduit. S'il parvien
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En 1819, les Peul s'installent à M
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A la guerre entre le Bornu et ses v
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Schéma 1 : Localisation des empire
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ANNEXE 5 - LES ENQUETESIntroduction
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dans la plupart des campements past
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121 Beauvilain A., 1989. Nord-Camer
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Tableau E.1 : effectifs en troupeau
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Pour les troupeaux sédentaires, c
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Kélé (Moulvoudaye) 1 2 3 6Kaya (M
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2 - salariée3 - autresi 2 ou 3, d
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achetez-vous des tiges?si oui, nomb
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3 : les deux4 : pas de rémunérati
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Q 35 IDENTITE IDTE vous pensez que
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sur l'histoire du troupeauQ 47 PERE
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tourteaux, tigesQ 67 TOURTEAU TOUR
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à propos de l'emboucheQ 95 EMBOUCH
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1. 2. 3 - Les objectifs du traiteme
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D’après les entretiens : « le b
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2. 1 - La mise en classe des troupe
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l’intégration des deux activité
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2. 2 - Les classes de troupeaux, le
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Tableau E.9 : classes de troupeaux
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2. 2. 1. c - Combinaison linéaire
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2. 3 - Achat de tourteaux et pratiq
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- 17 à commencer entre 1979 et 198
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2. 3. 2 - Organisation du fichier q
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Ces éléments nous incitent à pen
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KARAL73 individusmoyenne de 27090fc
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2. 3. 3. c - L’analyse factoriell
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2. 2 - Les entretiens et les observ
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arborescence :- agriculture : donn
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simultanément. Les taxes pastorale
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Schéma 2 : Localisation des zones
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Graphique 1 : La capacité de charg
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Graphique 3 : Les accords passés a
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Graphique 5 : Les accords passés a
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Graphique 7 : Résolution des contr
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annexes /154
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1. 2. 1 - La crise de 1986 à 1994.
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Annexe 5 - Les enquêtes ..........
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