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LAlgérie catholique (XIXe - XXe siècles) (Oissila Saaidia)

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approuvé la convention de financement pour la restauration de la Basilique Saint-Augustin

d’Hippone à Annaba est annulée ».

La région s’est pourvue en appel auprès de la cour administrative d’appel de Lyon (juin 2012)

qui a rejeté sa requête (mars 2013). In fine, le Conseil d’État a validé, le 17 février 2016, la

subvention votée par la région Rhône-Alpes. Le juge administratif suprême a établi que le

conseil régional avait, à bon droit, approuvé la convention de financement pour la restauration

de la Basilique Saint-Augustin d’Hippone à Annaba.

85. I. MANDRAUD, « “Madame l’Afrique” réunit Algériens et Français », Le Monde, le

15 décembre 2010.

86. Ibid.

87. Ibid.

88. Ibid.

89. Seules les relations entre l’institution séculière et les autorités ont été envisagées. Une autre

étude devrait s’intéresser aux rapports entretenus par les congrégations religieuses présentes en

Algérie et l’État.

90. Les publications sur le sujet sont nombreuses. L’une d’entre elles propose une lecture

historique qui replace la présence des moines dans un temps plus long que celui de

l’événement : B. DELPAL, « Tibhirine, le drame dans l’histoire », dans O. SAAÏDIA, L. ZERBINI

(dir.), L’Afrique et la mission. Terrains anciens, questions nouvelles avec Claude Prudhomme,

Karthala, Paris, 2015, p. 125-143.

91. L’enterrement de Pierre Claverie en a été une confirmation, si besoin était.

92. Le Monde, 17 juin 2000.

Il n’est probablement pas anodin que le chef de l’État fasse ces références au catholicisme

algérien devant les parlementaires français.

93. Se reporter au texte complet en annexe.

94. S XVI, V108-106 : « Celui qui renie Allah après [avoir eu] foi en Lui – excepté celui qui a

subi la contrainte et dont le cœur reste paisible en sa foi –, ceux dont la poitrine s’est ouverte à

l’impiété, sur ceux-là tomberont le courroux d’Allah et un tourment terrible. » Toutes les

citations coraniques sont extraites de la traduction de R. Blachère.

95. S XVI, V109-107 : « C’est là le prix de ce qu’ils ont plus aimé la Vie Immédiate que la [Vie]

Dernière et de ce qu’Allah ne saurait conduire le peuple des Infidèles. »

96. M. KHAYATI, « Le devenir de la shari’a dans le second message de M. M. Taha », dans

Politiques législatives Égypte, Tunisie, Algérie, Maroc, dossier du CEDEJ, Le Caire, 1994,

p. 185-192.

97. Cette situation se rencontre dans la plupart des États dont l’islam est la religion officielle.

L’explication est à rechercher dans la volonté d’uniformiser au maximum les législations

nationales et de ne plus opérer de distinction entre les citoyens. Il ne s’agit pas forcément dans

la logique du législateur d’appliquer des normes « islamiques », même si celles-ci sont parfois

décelables. Rappelons que bien des législations se sont constituées pendant la période coloniale

et le discours nationaliste, jusque dans sa manifestation juridique, entendait faire front commun

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