I. Literatur

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Les puissances suspendent alors toute démarche. La Bulgarie se soulève à son tour. Tchernaief,“ – der russische General
Michail Grigoriewitsch Tschernjajew (1828-1898) – „un des meilleurs officiers du Czar commande l’armée Serbe.
Milan“ – Milan Obrenovi? IV. (1854-1901) war seit 1868 Fürst von Serbien – „profite du desarrois pour attaquer les
Turcs. Battu. Attaque des Circassiens en Bulgarie. Gladstone fait paraître le pamphlet Bulgares atrocités. L’Angl. Prend
l’initiative de l’intervention. Disraeli forcé de suivre les propositions russes trop radicales, font tomber l’ardeur humanitaire
des anglais. Les serbes avance l’été de nouveau battu et la Prusse se trouve engagée à ne pas les laisser périr – Ignatief“
– der russische Diplomat Nikolai Pawlowitsch Ignatjew (1832-1908) versuchte die europäischen Höfe
Rußland-freundlich zu stimmen – „apporte l’ultimatum de Liradia à Constantinople … elle accepte Demande 6 semaines
d’armistices pour les Serbes – autonomie p[our] Bosnie Herzégovine et Bulgarie. Sommation en 48 heures d’accorder
l’armistice. Porte y consent éloignant l’imminence de la crise. Conférence à Constantinople accord sur un minimum
de réformes et de garanties forts pour le Montenegro. Administration autonome pour Bosnie. Bulgarie … Pendant
la période de réorganisation une armée étrangère ferait la police. Les Turcs pour échapper à cette solution donnent le coup
de théâtre. La constitution ottomane de Midhat P. pour de privilèges au sein de l’égalité. La Con[féren]ce adoucit les prétentions,
en janvier 1877 il n’est plus question que de réformes administratives. Milice indigène mixte. Contrôle pendant
5 ans. Les Turcs considèrent ce programme comme inacceptable. Le Sultan fit poser la Question aux haut fonctionnaires.
Ils disent non. La Conférence se dissout le 20 Janvier 1877. Réquisitoire fulminant d’Ignatief. Février 1877 circulaire
Gortschakof sur les mesures à prendre et Ignatief partit pour une tournée diplomatique. Conférence in extremis à Londres
protocole 31 mars 77 p[ou]r amener le desarmement de la Russie. Réserves de l’Angleterre. Stipule la nullité du protocole
et Russie ne désarme pas. Le protocole ne sert à rien. 24 Avril 1877 déclaration de guerre de la Russie à la suite de
la réaction turque et de la chute de Midhat – Pourparler direct russo-turcs à cause de la permission de Bismark.“
Proust belegte die Kurse an der ‚Ecole libre des sciences politiques’ im Hinblick auf eine diplomatische Karriere,
mit der er damals liebäugelte. Proust soll die politikwissenschaftlichen Vorlesungen nicht sonderlich geschätzt
haben. Die Vorlesungen Leroy-Beaulieus jedoch fesselten ihn, wie sein Freund, der spätere Diplomat
Robert de Billy (1869-1953), der damals Prousts Mitschüler war, in seinen „Lettres et conversations“ (S. 23-25)
schreibt; Proust sei dessen Vorlesungen aufmerksam gefolgt, ohne Notizen mitzuschreiben. Das vorliegende
Manuskript beweist das Gegenteil!
Osteuropa und Russland haben auch in der „Recherche“ ihre Spuren hinterlassen.
Nr. 362 Marcel Proust