I. Literatur

Salis-Seewis diente von 1779-1789 als Offizier in der Schweizergarde. Erst die Französische Revolution veranlaßte
den Günstling Marie-Antoinettes, seinen Abschied zu nehmen.
Auf einer 1790 unternommenen Deutschlandreise besuchte Salis-Seewis Goethe, Wieland, Herder und Matthisson,
mit dem er sich in enger Freundschaft verband.
Aus der Sammlung Karl Geigy-Hagenbach.
„Un moment d’anarchie“
406 SAND, GEORGE (eigentlich Amandine Aurore Lucie Dupin Baronne Dudevant), Gefährtin von Alfred
de Musset und Chopin, 1804-1876. L.A.S. „G. Sand“. Nohant 15.V.[1871]. 1 Doppelblatt 8°, alle
4 Seiten eng beschrieben. Am Kopf die blindgeprägten Initialen ‚GS’. (CHF 2’400.00)
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An Alexandre Dumas fils (1824-1895), bei dem sie ihrem Ärger über die Pariser „commune“ in sehr unmißverständlicher
Art und Weise Luft macht.
„Cher fils, je suis contente que vous soyez content de l’état de mon esprit durant ces épreuves tragiques. À présent les
épreuves sont burlesques par-dessus le marché ! Mais n’êtes vous pas frappé de la lâcheté générale ? Qu’après un désastre
les oiseaux de proie s’abattent sur les cadavres, c’est tout simple. Cela s’est toujours vu. Un moment d’anarchie et les
idiots soutenus par messieurs les voleurs viennent se repaître. Mais cette population parisienne qui est en raison de cent
contre un, et qui se laisse opprimer, insulter, voler, avilir ? Ceux qui élèvent encore la voix sont si c…[sic] – qu’ils font
semblant de redouter une restauration
pour se dispenser de résister à quelques
voyous pochards qu’ils devraient et
pourraient jeter dans leurs caves…
Il n’y a pas à pleurer sur les déplacements
de richesse qui vont s’opérer à la
suite de la ruine de Paris. Ceux qui se
laissent plumer comme des oies ne sont
pas intéressants. J’espère que le dénouement
est proche. A présent que tout ce
qui a une valeur intellectuelle et morale
a quitté ce pays d’insanités, j’avoue que
je suis bien endurcie sur le sort de ceux
qui restent…
Dites donc à Me[i]ssonnier de m’écrire
qu’il me dise en deux mots qu’il a de la
sympathie pour moi et je lui en serai
bien reconnaissante. Est-ce qu’il peut
encore travailler au milieu de ce désarroi
? Moi j’essaie quand même de travailler
pour soutenir cette pauvre
Revue qui lutte contre les préoccupations
du public avec un courage dont il
faut lui savoir gré…“
George Sand lernte Alexandre
Dumas 1851 kennen. Ernest Meissonnier
(1815-1891) war einer der
bekanntesten französischer Maler
der 1850 und 1860er Jahre; er war
über Dumas mit George Sand in
Kontakt gekommen.
Der Brief ist – unter Auslassung
eines Paragraphen – gedruckt in:
Correspondance, ed. G. Lubin, Bd.
XXII, Nr. 15448.