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Légende des photographies de Julie Hermesse (de haut en bas et de gauche à droite) :• Delfina coupant en morceaux les fruits qui décoraient les arcs de la semainesainte [avril 2007].• Florinda Méndez devant sa maison [avril 2006]• Juan Vásquez Vásquez au pied de l’église catholique (arc décoré de fruits enarrière-fond) [avril 2007].• Juana Vásquez Vásquez le jour de son mariage [avril 2006].• Les deux personnes en avant-plan sur la photo : les ajq'ij Felipe Santos Gómez etEfraín Méndez [septembre 2008].• Adolfo García [mars 2008].• Catalina Vásquez Orozco [septembre 2008].• Premier enfant, Nilson (fils de Catalina), troisième et quatrième, Daniel etCristian (fils de Catarina Vásquez Orozco) [novembre 2008].• Catarina Vásquez Orozco déposant des fleurs sur la tombe de son mari[novembre 2008].• Victorina Menchú vendant des fleurs à la Toussaint dans le marché municipal[novembre 2008].• Au milieu, l’ajq’ij Tomas. À sa droite, l’ajq’ij Santos préparant des bougies pourune cérémonie [septembre 2008].• Padre Ángel Vincente Díaz [mars 2006].• Julie Hermesse en discussion avec Miguel Gómez Pérez [juillet 2008].• Préparation du repas d’anniversaire d'un an du jeune Francisco, fils de Mimi etpetit-fils de Soila Menchú [février 2007].• Vue de San Martín depuis le cimetière municipal [novembre 2008].• Anniversaire des 4 ans d’Elson, fils de Juana et Humberto [juillet 2010].• Francisco Ramírez Ramírez et Catarina Juárez venant de recevoir leur portait encadeau [novembre 2008].• Enfants de San Martín devant un cerf-volant géant lors de la Toussaint[novembre 2008].• Vue de San Martín à la saison sèche [mars 2007].• Vue de San Martín à la saison des pluies [juillet 2008].• Otoniel García Méndez dans son champ de maïs [août 2007].
PRÉLUDE ETHNOGRAPHIQUE ET MÉTHODOLOGIQUESan Martín Sacatepéquez comme terrain ethnographiqueUn lever de soleil à San Martín…Il est 5h30 du matin. Depuis le toit plat de la maison de Juana une vue panoramique de SanMartín s’offre à moi. À quelques jours de mon retour en Belgique, je m’imprègne avecémotion de ce paysage dont les codes m’ont été patiemment enseignés par mes« informateurs » devenus aujourd’hui, pour la plupart, des amis.Telle une couverture protégeant un enfant dans son berceau de montagnes, le centre de lamunicipalité est sous la brume. Le soleil illumine de ses premiers rayons les versants de TwiSlaj et au loin, le sommet du volcan Chikabal. La brume se retire et laisse apparaître, à l’Estd’abord, couleurs et contrastes. La terre est sèche et aride d’une pluie absente qui ne tarderapas à venir. Le maïs a été récolté les mois précédents. Il sera resemé dans un peu près un mois,en fonction de l’ensoleillement des terrains.Depuis la terrasse, je vois des hommes armés de leur houe s’éloigner vers leur champ au sonde leurs bottes en caoutchouc. Certains n’emportent qu’un mecapal 1 ; ils s’en vontprobablement chercher du bois de cuisson dans la montagne. Les femmes, penchées sur lesbassins d’eau (pila), lavent le linge. Cordes, murets, fils de fer ou chuj 2 en sont peu à peucouverts.Je ferme les yeux, les bruits et les odeurs de San Martín qui s’éveille, m’atteignent. Ils me sontfamiliers. Non loin de mon observatoire, le moulin à pétrole broie en pétaradant le maïsdestiné aux tortillas 3 ou au tamales 4 . Les mains des femmes, paume contre paume enchantent,par de légers applaudissements, les premières tortillas de la journée dont la rondeur égale à lalune lorsqu’elle est pleine. Plus tard, accompagnées d’œufs brouillés et de frijoles, des tortillasseront apportées au champ pour nourrir les hommes. Les haches coupent déjà le bois. L’odeurdu feu me parvient avec celle des tortillas. Ces arômes se mélangent aux odeurs de la terrehumidifiée par la rosée, et aux effluves des engrais organiques qui hérissent les narines. Lesvolailles piaillent nonchalamment dans les cours ou sur les toits. Alors que je gratte avec uncertain automatisme les piqûres de puces, ennemies de mes nuits, leurs propriétaires caninsaboient au loin. Les pick-up démarrent au quart de tour dans les ruelles. Des jeunes enuniforme se dirigent vers le centre pour prendre un microbus qui les emmènera à proximité deleur collège dans la ville de Quetzaltenango. Des baffles diffusent des champs évangéliques…1 Lanière de cuir ou de corde tressée, placée sur le front pour permettre de porter une charge dans le dos.2 Le chuj, appelé aussi dans de nombreux endroits du Guatemala, temascal, est une sorte de bain de vapeur. Leshabitants de l’altiplano s’y baignent une à deux fois par semaine. Petite cahute à l’extérieur du foyer, le chuj,aujourd’hui fait de béton et non plus de terre, se voit peu à peu remplacer par des douches dans certaineshabitations.3 Galette ronde de maïs, base de l’alimentation rurale.4 Nourriture traditionnelle, les tamales sont des chaussons de pâte de maïs enroulés dans des feuilles séchées oufraîches de maïs ou de maxan et cuits à la vapeur.23
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porte et dit : “ Jenny, lève-toi
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pouvaient plus recevoir nos appels
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De nombreuses personnes expliquent
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Ainsi, selon le diagnostic de Chojo
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Le phénomène Stan provoqua des d
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L’historienne Mercier-Faivre (200
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De l’événement au processusDepu
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veux dire, c’est que mes grands-p
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concernant la couverture forestièr
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Autrefois, relatent encore les aîn
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Au lendemain de Stan, alors que des
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Dans la municipalité étudiée, le
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Le contrôle vertical des paliers
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Ils apportaient de l’eau-de-vie.
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Bot, 1992 : 34). La guerre civile,
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de 6 % de paysans possède 22 % des
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L’envoi d’argent gagné en migr
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La possession des terres est une ch
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« jeune jeunesse » (juventud jove
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dont essentiellement, la pomme de t
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cette hypothèse, Carey démontre c
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qui permet au sol de retrouver sa s
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souffrons d’une lutte économique
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Conclusion : Inégalités socio-éc
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Au Guatemala, l’impact de Stan s
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DEUXIÈME PARTIE :STANOUL’ENVIRON
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Martín. Dans ce chapitre la questi
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L’Église catholique prend une pl
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spiritualité maya affirme que la v
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chamanes k’iche’ et des chamane
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conduisant vers l’inframonde (Bro
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Le lieu et les moments de consultat
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À San Martín, le pourcentage de c
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Alors que les phénomènes migratoi
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à ce jeu » (Corten, 1998 : 8). Au
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Álvaro Méndez, habitant de la mun
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clôture un cycle de 52 ans, mais s
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2. Origine divine de Stan et signe
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évacués de San Martín, s’empre
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uniquement vers Dieu ! Car on peut
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catastrophe. Pour Sylvie Pedron-Col
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cette période dans l’altiplano :
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D’une part, les données de carac
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Pour Pablo également, « le temps
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echerchée dans les actes destructe
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Pour les tinecos, la préoccupation
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(2006), cette prophétie contient d
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1. Des relations coutumières avec
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Le copal était l’encens par exce
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Les évangéliques qualifient égal
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Mais comme disait mon trisaïeul, i
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font des pactes avec lui, ils font
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2. Cartographie des figures de l’
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toute entité vivante, le tanim inc
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une bronchite etc. Et tout le monde
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même s’il ne le sait pas, même
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aujourd’hui communément appelé
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Mon maître ne m’a jamais parlé
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naissance (ce que García Ruiz nomm
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Julie: Ça n’a rien à voir avec
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Plus radical encore, selon les cham
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est la vie même. Tout comme nous s
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que la terre veut danser, elle veut
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Mais si l’on respecte la lagune C
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Le jeune Humberto, qui se dit évan
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Julie : Mais alors, l’objectif es
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membres de l’Église catholique,
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l’incertitude quant au du bon dé
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4. Coexistence de représentations
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Les pentecôtistes ne sont donc pas
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culture maya, mené par un leadersh
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la culture ladino, métisse, ou mis
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théologie locale hybride combinant
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s’efforcent de rester conformes a
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Ces énonciations rejoignent les r
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Traditionnellement, le risque est d
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Disparition d’une éducation à l
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Juana : Je ne sais pas. Ce que je s
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destinés à l’agriculture, consi
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2. « Gestion des risques » de men
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de la thématique de la gestion des
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éduire, de prendre à sa charge et
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également la logique des gestionna
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3. Tensions entre savoirs coutumier
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Conclusion : Principe de participat
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CHAPITRE VI : MODÉLISER LES RAPPOR
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Le précédent chapitre s’est pen
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ont été questionnés les système
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1. La cosmovision mam et l’ontolo
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humains des problèmes qui détruis
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Ces structures constituent pour l
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froid, elle a tendance à ne pas av
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comme je ne voulais pas devenir cha
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l’Occident, et ses ancêtres n’
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Selon l’auteur, la pensée analog
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Pour Bankoff, la définition des te
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situation d’hétérogénéité de
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est souvent absente des débats sur
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BIBLIOGRAPHIEOuvrages et articles c
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WEBSTER P. J., HOLLAND G. J., CURRY
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