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ligne de partage entre deux mondes, mutuellement inintelligibles – d’où la nécessité del’interprétation que mettent en place les sciences sociales » (Bensa et Fassin, 2002 : 4). Lessciences sociales ne parleront de l’événement qu’à partir du moment où elles ont autre chose àdire que l’évidence de sa manifestation. L’événement pose la question du sens ou plutôt del’incertitude de la signification. C’est pourquoi, dans cette étude, une place particulière seraattribuée à l’observation des systèmes de sens et des religiosités. C’est pourquoi également lesreprésentations qui font de l’événement vécu un événement construit sont incontournables.L’anthropologue apparaît dès lors non pas comme le griot de l’événement, commel’expriment de manière imagée Bensa et Fassin, mais « il met en scène l’ensemble des griotspour mieux l’appréhender dans sa complexité » (2002 : 9).Mais avant de s’attacher à comprendre les systèmes de sens mobilisés par les acteurs locauxau sujet de l’ « événement Stan », le prochain chapitre aura pour objectif d’observer les filsqui tissent la continuité entre l’avant catastrophe et l’événement catastrophique. La recherched’intelligibilité de l’événement Stan exacerbe, paradoxalement, l’évidence de la continuité desconditions matérielles qui ont permis l’occurrence de la catastrophe. Ce chapitre s’arrêtera surla distinction entre menace naturelle et catastrophe et démontrera la construction sociale etprocessuelle de cette dernière.94
CHAPITRE II : LA CATASTROPHE COMME UN PROCESSUSAgricultoresEn mi pueblo, todos somos agricultoresAsí dicen nuestras cédulas.Lo único que no tenemos es tierra para cultivar.(Mash, 2007)Hecho leñaRecuerdo que yo era un árbolVivía muy feliz con los pajarillos,Con las ardillas y con todos los demás…Ahora estoy aquíHecho leña,-digo hecho mierda-Alguien despedazóMis manos,Mis pies,Mi cuerpo,Mi corazónY todo mi ser.OtrosMe prendieron fuego,¡Que malos!(Mash, 2010)Eterna primaveraAntes, este paisaje era “La Eterna Primavera”Si estuviera igual, muchos le pondríamos Guatelinda,Pero desde que unos hijos de la gran “pura sangre” se lo repartieronLe pusieron Guatemala ¡Que huevos!(Mash, 2007)La llamadaCuando estoy lejos de mi pueblo,Me llaman mis hijos,Mi mujer,Mis cuates“Y la otra” parte de mi ombligo que está colgando en un árbol viejo por ahí.(Mash, 2007)95
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Faculté des sciences économiques,
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Pentecôtisme et demande de rituels
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INTRODUCTIONStan mais encore Agatha
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Les eaux et les coulées de boues o
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m’ont naturellement conduite vers
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A l’exception des plateaux des Cu
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à tour de rôle (afin de ménager
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cette hypothèse, Carey démontre c
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Au Guatemala, l’impact de Stan s
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Légende des photographies de Julie
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L’Église catholique prend une pl
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spiritualité maya affirme que la v
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Le lieu et les moments de consultat
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Alors que les phénomènes migratoi
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Álvaro Méndez, habitant de la mun
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clôture un cycle de 52 ans, mais s
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évacués de San Martín, s’empre
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D’une part, les données de carac
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Pour les tinecos, la préoccupation
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Conclusion : Cycles et prophéties
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1. Des relations coutumières avec
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donnait bien ! Et à chaque fois, v
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2. Cartographie des figures de l’
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toute entité vivante, le tanim inc
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une bronchite etc. Et tout le monde
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même s’il ne le sait pas, même
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Mon maître ne m’a jamais parlé
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Julie: Ça n’a rien à voir avec
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est la vie même. Tout comme nous s
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que la terre veut danser, elle veut
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Le jeune Humberto, qui se dit évan
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Julie : Mais alors, l’objectif es
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la culture ladino, métisse, ou mis
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Juana : Je ne sais pas. Ce que je s
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2. « Gestion des risques » de men
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3. Tensions entre savoirs coutumier
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1. La cosmovision mam et l’ontolo
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comme je ne voulais pas devenir cha
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l’Occident, et ses ancêtres n’
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Pour Bankoff, la définition des te
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CAMPOS GOENAGA M., 2008, « Cuando
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FOSSIER A., 2006, « Par-delà natu
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HAMAYON R., 1995, « Pour en finir
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LAPLANTINE F., 1987, Clefs pour l
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SASSAMAN K., OLIVER-SMITH A., 2011
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WEBSTER P. J., HOLLAND G. J., CURRY
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