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ladino-amachetarmarimbamazorcamecapalmiches ou tz’itemilpanahualojosaltar bombassaturarsustotamaltapiscartineco(a)tortillatrabajartumtzolk’inxelazacateTerme dérivé de “latino” utilisé pour se référer à la population métisse ou hispanisée.Il désigne par extension, toute personne guatémaltèque non associée à une culture et àune langue indigène.Donner un coup de machetteSorte de xylophone d’origine africaine ou créole sur lequel peuvent jouersimultanément jusqu’à quatre musiciens.Épis de maïs dont les grains sont séchésLanière de cuir ou de corde tressée, placée sur le front permettant de porter unecharge dans le dos.Les miches ou tz’ite sont des graines à l’apparence de haricots secs de couleur rouge.Ces graines sont utilisées par les ajkab’ pour réaliser leurs divinations ou pour émettredes diagnostics.Désigne à la foi le champ semé de maïs (auquel se trouvent généralement associés leharicot, la courge et d’autres plantes) et le processus de culture du maïs.(Voir tajwalil)Ou mal de ojo, état fébrile affectant essentiellement les nourrissons ayant reçu leregard d’une personne de sang chaud. Il est soigné par des guérisseurs.Faire exploser une bombe lors de festivités.Acte de libérer une personne de mauvais esprits. Le chamane le réalise au cours d’unecérémonie en éclaboussant une personne avec des branches de ruda mouillée d’eaubénite.État de choc dans lequel peut se trouver une personne suite à un événementtraumatisant. Comme l’ojo, le susto est soigné par des guérisseurs.Nourriture traditionnelle, les tamales sont des chaussons de pâte de maïs enroulésdans des feuilles séchées ou fraîches de maïs ou de maxan et cuits à la vapeur.Action de récolter le maïs.Habitant de San Martín, diminutif de sanmartineco.Galette ronde de maïs, base de l’alimentation rurale.Travailler. Par extension, réaliser des rituels coutumiers. Pedir trabajo, demander laréalisation d’un travail chamanique.Tambour traditionnel.Calendrier sacré maya de 260 (13 x 20) jours.Diminutif de Xelaju, non indigène k’iche de Quetzaltenango.Classe d’herbes non comestibles utlisées comme engrais organiques.ADITASAECOCOCODECOECOMUDECONAPSiglesAssociation de développement intégral tinecoAssociation d’agriculteurs écologiques “Lagune Chikabal” – Asociación de agricultoresecológicos “Laguna Chikabal”Conseil communautaire de développementComité d’organisation d’urgence – Comité de organización de emergencia (Institutionorganisée dans l’urgence à San Martín pour gérer le désastre Stan et les aides qui s’ensuivirent)Conseil municipal de développementConseil national des zones protégées – Consejo nacional de areas protegidas428
CONREDCREDDAPMAFAOGIECINABINELA REDOMPPNUDZCITCoordination nationale pour la réduction des catastrophes (institution nationale du Guatemala)Coordinadora Nacional para la Reducción de DesastresCentre de recherche en épidémiologie des catastrophes (base à l’Université Catholique deLouvain) Centre for Research on the Epidemiology of DisastersDépartement des zones protégées et de l’environnement (niveau municipal)Departamento de areas protegidas y medio ambienteFood and Agriculture Organization of the United NationsGroupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climatIPCC Intergovernmental panel on climate changeInstitut national des boisInstitut national de statistiques - Instituto nacional de estadísticasRéseau de recherches sociales pour la prévention des catastrophes en Amérique latineRed de estudios sociales en prevención de desastres en América latinaBureau municipal de la planification - Oficina municipal de planificaciónProgramme des Nations Unies pour le développementZone de convergence intertropicaleCorrespondances métriquesCuerda Il n’existe pas de mesure standard pour la cuerda. À San Martín, la cuerda équivaut à uneparcelle de terrain de 25 mètres sur 25 mètres.Tarea À l’instar des cuerdas de terrain, il n’existe pas pour la tarea (tâche) de mesure standard. ÀSan Martín, une tarea équivaut à un volume d’une vara sur quatre varas.Vara La verge espagnole est une unité de mesure. Une vara équivaut à 33 pouces, soit 82,5centimètres.Quetzal Unité monétaire nationale (GTQ). Entre 2005 et 2010, un quetzal guatémaltèque valait environ10 centimes d’Euro. Le quetzal fait référence à l’oiseau sacré dont les anciens mayas utilisaientles longues plumes de la queue comme objets de luxe.Quintal Unité de poids équivalent à 100 livres, soit 45 kilogrammes.LivreUnité de poids équivalent à 450 grammes.429
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Faculté des sciences économiques,
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Cette thèse n’aurait pu être r
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À Corentin, du celte « Korwentenn
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Pentecôtisme et demande de rituels
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INTRODUCTIONStan mais encore Agatha
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Les eaux et les coulées de boues o
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m’ont naturellement conduite vers
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PRELUDE ETHNOGRAPHIQUEET METHODOLOG
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Légende des photographies de Julie
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Le soleil progresse vers la vertica
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Carte 1 : Territoire municipal de S
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A l’exception des plateaux des Cu
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population mam, celle-ci a reçu un
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À San Martín, 85% des habitants d
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La langue généralement utilisée
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à tour de rôle (afin de ménager
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Outre l’identification du corps d
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Dans un premier temps, j’ai abond
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démontrent combien, le décentreme
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facteurs d’hétérogénéité obs
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comme Carmen, de partager leurs exp
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concepts. À partir de ce travail d
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Figure 2: Kitsal “quetzal” ou p
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CHAPITRE I : QUAND LA TEMPÊTE STAN
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Dans ce chapitre, je m’arrêterai
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données sont extraites des bases d
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Disaster Date Number Killed1 Flood
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annuelles à 60 naissances. Les tin
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intertropicale, la présence de deu
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L’alternance et la complémentari
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Au Guatemala, comme dans toute l’
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Les précisions climatiques apport
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appel à la communauté internation
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phénomène naturel, je dois m’im
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n’avait eu lieu ici », explique
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porte et dit : “ Jenny, lève-toi
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pouvaient plus recevoir nos appels
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De nombreuses personnes expliquent
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Afin de ménager les susceptibilit
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Ainsi, selon le diagnostic de Chojo
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afin de retrouver la source déplac
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Le phénomène Stan provoqua des d
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L’historienne Mercier-Faivre (200
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CHAPITRE II : LA CATASTROPHE COMME
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De l’événement au processusDepu
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des arrêts et d’analyser l’év
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veux dire, c’est que mes grands-p
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concernant la couverture forestièr
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Afrique, environ 50% en Asie de l
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second élément qui amène les tin
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Autrefois, relatent encore les aîn
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Au lendemain de Stan, alors que des
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Dans la municipalité étudiée, le
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type de propriété de la terre, ce
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Le contrôle vertical des paliers
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par exemple que de nombreuses commu
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villages, la population s’accrois
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Ils apportaient de l’eau-de-vie.
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Bot, 1992 : 34). La guerre civile,
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de 6 % de paysans possède 22 % des
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3. Transformation du territoire et
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territoire mexicain et entrer illé
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L’envoi d’argent gagné en migr
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La possession des terres est une ch
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« jeune jeunesse » (juventud jove
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demeures à étages restent parfois
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dont essentiellement, la pomme de t
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cette hypothèse, Carey démontre c
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qui permet au sol de retrouver sa s
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guérir et de produire davantage et
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souffrons d’une lutte économique
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Conclusion : Inégalités socio-éc
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Au Guatemala, l’impact de Stan s
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DEUXIÈME PARTIE :STANOUL’ENVIRON
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Légende des photographies de Julie
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Martín. Dans ce chapitre la questi
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L’Église catholique prend une pl
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spiritualité maya affirme que la v
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chamanes k’iche’ et des chamane
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conduisant vers l’inframonde (Bro
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Le lieu et les moments de consultat
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Introduites par le gouvernement lib
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À San Martín, le pourcentage de c
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Alors que les phénomènes migratoi
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à ce jeu » (Corten, 1998 : 8). Au
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temps forts du calendrier agricole
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1. Conception cyclique du temps et
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Álvaro Méndez, habitant de la mun
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confort psychologique aux victimes
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clôture un cycle de 52 ans, mais s
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2. Origine divine de Stan et signe
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premier au dernier livre de l’Apo
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évacués de San Martín, s’empre
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uniquement vers Dieu ! Car on peut
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catastrophe. Pour Sylvie Pedron-Col
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cette période dans l’altiplano :
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3. Prophéties mayas et changements
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D’une part, les données de carac
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façon, ils font référence aux t
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Pour Pablo également, « le temps
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echerchée dans les actes destructe
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Pour les tinecos, la préoccupation
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(2006), cette prophétie contient d
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s’accomplissent toutes : les deux
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quelle est notre unité ? Chacun tr
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Controverse autour des changements
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Conclusion : Cycles et prophéties
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les consciences humaines dans leur
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une question qui a été abondammen
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1. Des relations coutumières avec
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donnait bien ! Et à chaque fois, v
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Le copal était l’encens par exce
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Les évangéliques qualifient égal
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Mais comme disait mon trisaïeul, i
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font des pactes avec lui, ils font
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2. Cartographie des figures de l’
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toute entité vivante, le tanim inc
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une bronchite etc. Et tout le monde
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même s’il ne le sait pas, même
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aujourd’hui communément appelé
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Mon maître ne m’a jamais parlé
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économiques ne peuvent être sépa
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naissance (ce que García Ruiz nomm
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Julie: Ça n’a rien à voir avec
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Plus radical encore, selon les cham
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est la vie même. Tout comme nous s
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que la terre veut danser, elle veut
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profond respect envers les principe
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Mais si l’on respecte la lagune C
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Le jeune Humberto, qui se dit évan
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sacrées. C’est pour cela que ça
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passé, nous avons fait quatre cér
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Julie : Mais alors, l’objectif es
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passage de Stan. Or des oublis de c
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quotidiennement que la lagune attir
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membres de l’Église catholique,
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l’incertitude quant au du bon dé
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4. Coexistence de représentations
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Les pentecôtistes ne sont donc pas
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culture maya, mené par un leadersh
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la culture ladino, métisse, ou mis
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théologie locale hybride combinant
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s’efforcent de rester conformes a
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Ces énonciations rejoignent les r
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Figure 5: Xch’ok “zigzag”,mot
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TROISIÈME PARTIE : STAN OU LA COEX
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CHAPITRE V : TRANSMISSION DES SAVOI
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Traditionnellement, le risque est d
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1. Remise en question de l’autori
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du singulier mais presque toujours
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Disparition d’une éducation à l
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Juana : Je ne sais pas. Ce que je s
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destinés à l’agriculture, consi
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2. « Gestion des risques » de men
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de la thématique de la gestion des
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éduire, de prendre à sa charge et
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également la logique des gestionna
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3. Tensions entre savoirs coutumier
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que vous ne croyez pas en Dieu, c
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(…) Ici, dit-elle, c’est par p
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savoirs traditionnels. La légitimi
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Conclusion : Principe de participat
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vivantes non humaines, tout comme l
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CHAPITRE VI : MODÉLISER LES RAPPOR
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Le précédent chapitre s’est pen
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individuelle et collective qu’il
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ont été questionnés les système
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1. La cosmovision mam et l’ontolo
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humains des problèmes qui détruis
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Ces structures constituent pour l
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froid, elle a tendance à ne pas av
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comme je ne voulais pas devenir cha
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l’Occident, et ses ancêtres n’
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« Cette énergie dépend du jour d
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actuellement manipulés avec plus o
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combinée avec la logique segmentai
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montagnes, le maïs… Lors des cé
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don, si l’on veut bien prendre ce
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dominant peuvent également être p
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Page 423 and 424: WEBSTER P. J., HOLLAND G. J., CURRY
Page 425 and 426: INSTITUTO NACIONAL DE SISMOLOGIA, V
Page 427 and 428: ANNEXESGlossaire des termes vernacu
Page 429: wutzxjawLa montagne. Par extension,
Page 433 and 434: • Le 4 octobre : à 3h du matin,
Page 436 and 437: k’u’lb’il de San Martín Saca
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