Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com

motivation de base du choix du 1899, c’est-à-dire d’ouvrir davantage l’horizon du recrutement
de la congrégation.
Conforti a du gérer une présence d’adolescents d’une certaine consistance d’abord à la
Maison mère, puis à Vicenza. La mission chinois a du céder quelques missionnaires experts et
spirituellement bien formés comme le père Uccelli, que cependant ont été compensés avec les
derniers éléments du premier groupe. L’évêque est présent à Campo di Marte, selon les
témoignages, au moins un jour chaque semaine. Au père Amatore Dagnino, en février 1914,
recommandait : « Moi aussi avec fréquence, maintenant que j’ai terminé la sainte visite
pastorale, je vais à Campo di Marte, où pendant un instant j’oublie de temps en temps d’être
évêque de Parma. Il semble que fut en cette période, selon le témoignage du père Ambrico, le
début de la tradition du repas de noël à l’éveché à la présence de tous les élèves, même les plus
petits, une occasion de fête, qui a continuée jusqu’en 1924-25, jusqu’à quand les élèves
pouvaient être reçus dans la grande salle à manger. En plus, pendant les années successives à la
guerre, peut-être aussi même avant, Bonardi se rendait chaque matin à l’éveché de 8hoo à 9hoo
pour une audience privée pendant laquelle l’évêque était toujours mis au courrant de toutes les
vicissitudes du Campo di Marte. En mars 1918 tous les professeurs et les supérieurs étaient au
service militaire pendant la guerre et Conforti avec Bonardi a commencé de nouveau à donner
cours à la Maison mère.
LES XAVERIENS : LES CONSTITTIONS DE 1921 ET LA LETTRE TESTAMENT
En février 1916, Conforti avait commencé une autre démarche, cette fois d’ordre juridique et
documentaire. Aux missionnaires en Chine il avait envoyé les nouvelles règles de l’institut, pour
que, chacun, après les avoir lues, « puisse faire des observations que, pour le bien de notre
société aurait jugé opportun ; en plus il demandait une rencontre avec le vicaire apostolique
Calza pour détecter et envoyer à Parma des indications ». En effet le règlement « Vavari »
préparé pour le Decretum laudis 10 ans avant, n’avait pas été presque appliqué en ce temps de la
mission. Ainsi Conforti avait décidé de demander l’approbation à l’occasion de la visite ad
limina en août successif. Donc il mettait en acte une grande et libre consultation parmi ses
missionnaires, d’ailleurs suffisamment documentée malgré la difficulté de faire parvenir le
courrier entre l’Italie et la Chine en ce temps de guerre.
En lisant les indications et les opinions de premiers xavériens, le thème plus discuté fut celui
du rapport entre le supérieur religieux et l’évêque ou le prélat de mission. En effet le règlement
conçu pour rester dans le temps devait prévoir que les missions des xavériens ne devaient pas
être toujours comme celles qui étaient dans le vicariat de l’Henan occidental, c'est-à-dire un
prélat xavier. Mais la division du supérieur religieux de l’évêque créait des tentions depuis lors.
Qui aurait décidé, par exemple, le déplacement des missionnaires d’une zone à l’autre Le
supérieur religieux ou l’évêque diocésain Pour le moment les deux figures étaient réunies dans
une seule personne, Mgr Calza, même si quelqu’un suggérait que l’évêque était tellement
surchargé par des engagements, qu’il laissait en partie, l’aspect typiquement religieux. Les
exemples d’autres congrégations missionnaires, montraient comment on avait préféré prendre la
solution plus probable. Un autre aspect de discussion était le principe de la rentrée en Italie
pendant un temps de repos chaque10 ou 15 ans : beaucoup de missionnaires avaient demandé de
inscrire cette proposition, mais Calza était fortement contraire.
Au même temps, en juin, Conforti prenait des contacts avec Propaganda fide, et la
congrégation romaine le renvoyait au dicastère des religieux, après avoir encore une fois de plus
proposé au fondateur de renoncer aux vœux religieux, afin de mettre les xavériens
complètement sous la compétence de Propaganda : évidemment Conforti refusa. Ainsi le
fondateur avait commencé la démarche pour la reconnaissance de la part de la congrégation des
religieux, depuis avril, et puis en rappelant la consigne du règlement avec une lettre au
secrétaire, Adolfo Turchi, le 19 décembre 1916. Mais, comme souvent arrivait à Conforti dans
Manfredi - 168 – G.M. Conforti