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Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com

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J’ai déjà adopté le système de ne pas accepter des jeunes qui n’ont pas au moins terminé la<br />

troisième année du gymnase et qu’ils montrent quelques inclinations à la difficile vie du<br />

missionnaire. C’est vrai que diminuerait le nombre des ceux qu’on accepté, mais au<br />

même temps notre congrégation prendra une forme homogène et pourra mieux répondre<br />

au but très saint pour lequel elle a été fondée. Parmi les beaucoup de jeunes qui ont été<br />

acceptés depuis le <strong>com</strong>mencement, avec une largeur des critères que vous bien connaissez,<br />

à mon avis personne n’est sorti missionnaire.<br />

En effet donc, en 1900 venait clôturé, ou mieux était en train d’être conclue l’expérience des<br />

élèves de premières trois classes du gymnase, tandis qu’on continuait à essayer à travailler avec les<br />

petits que maintenant augmentaient depuis quelques années dans l’institut et aussi avec ceux du<br />

lycée. On note que ceci arrivait exactement au moment dans lequel l’institut entrait dans la nouvelle<br />

résidence ; <strong>com</strong>me <strong>Conforti</strong> pouvait facilement prévoir, toute cette structure risquait d’être habitée<br />

par peu d’adolescents et jeunes. Le choix de <strong>Conforti</strong> pourrait sembler à la première vue beaucoup<br />

limité : pourquoi ne pas admettre seulement ceux qui venaient de terminer le lycée Mais pour les<br />

temps, était déjà une intervention à la racine.<br />

Est connu que les petits séminaristes, en <strong>com</strong>mençant de ceux de la montagne qui existaient<br />

en beaucoup de diocèses des Apennins tosco-émilien, développaient la fonction principale des<br />

écoles « secondaires du premier degré » (<strong>com</strong>me on disait selon la terminologie actuelle) c’est-àdire<br />

des écoles successives au cours élémentaire, plus accessibles économiquement à l’égard des<br />

gymnases et lycée d’état plus chers. Davantage une réalité <strong>com</strong>me le séminaire missionnaire qui<br />

demandait un apport de la contribution familiale plus modeste. Beaucoup moins de familles<br />

pouvaient penser de projeter un gymnase supérieur et un lycée pour leurs enfants, donc il y avait<br />

alors une remarquable sélection.<br />

Pour <strong>com</strong>prendre l’importance et l’intuition du parcours intérieur de <strong>Conforti</strong>, vaut la peine<br />

faire quelques considérations globales sur les étudiants du nouvel institut missionnaire, à partir des<br />

sommaires mais intéressantes données tirées du registre des Dozzene et publiées par Teodori, pour<br />

les années 1895-1907. Qui étaient et d’où venaient les premiers candidats pour devenir des<br />

missionnaires dans la congrégation de <strong>Conforti</strong> Nous <strong>com</strong>plétons ici quelques considérations pour<br />

toutes les premières années de vie à Borgo del Leon d’Oro, déjà anticipées dans un paragraphe<br />

précédent.<br />

Pendant les premières douze ans d’activité du séminaire émilien pour les missions<br />

étrangères sont enregistrés en total 82 élèves. Parmi ceux-ci, 19 seront effectivement xavériens<br />

(quelques uns quitteront après la congrégation), 22 deviendront des prêtres diocésains, 31<br />

quitteront le parcours de formation cléricale ; 2 mourront avant d’avoir conclu les études et sur 8<br />

nous n’avons pas des données précises (puisque souvent auront quitté). Donc, pour faire un<br />

pourcentage, moins du 25%( précisément le 23, 17%) sera effectivement xavérien, le 26, 83%<br />

entrera parmi le clergé de Parma (21 cas), viennent du Borgo San Donnino (1 seulement) presque la<br />

moitié quittera <strong>com</strong>plètement le parcours vers le sacerdoce.<br />

De quels diocèses venaient-ils ces 82 élèves 55 venaient des centres du diocèse de Parma<br />

(le 67,07 %) 10 des diocèses émiliens (12, 2%) et précisément 3 de Borgo San Donnino, 6 de<br />

Reggio, un de Modena. Donc le séminaire émilien, malgré les interventions publiques des évêques<br />

de l’Emilia, restera pendant ces premières années substantiellement séminaire de Parma. D’autres<br />

viennent de différentes régions ecclésiastiques (le 19, 51%) tandis que sur deux nous n’avons pas<br />

des indications. Ces dernières provenances sont décidément curieuses : 6 viennent du diocèse de<br />

Noto en Sicilia du sud (le même nombre des candidats de Reggio Emilia), 2 de Cremona et 2 aussi<br />

du diocèse d’Arezzo et San Sepolcro. On a un élève pour chacun de ces diocèses : Trento, Lodi,<br />

Brescia, Mileto et Boston (USA) le p. Bonardi que nous pouvons considéré de Parma à tous les<br />

effets, car son acte de naissance fut enregistré à Berceto, 6 ans après, quand sa famille est rentrée en<br />

Italie.<br />

<strong>Manfredi</strong> - 52 – G.M. <strong>Conforti</strong>

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