Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com

ésidence fortifiée par les pères de Scheut dans la Mongolia interne (Siao-Kiao-pan) où avec
d’autres missionnaires et chrétiens réfugiés ont du subir un long siège.
Doucement, et seulement vers la fin du 1900, sont arrivées à Parma les nouvelles d’abord du
martyr de Fogolla (fin septembre) et beaucoup plus tard, du danger manqué pour les deux xavériens
(23 décembre). Les deux, aussi à la suite des indications de Conforti, se inséraient dans la mission
franciscaine en plein reconstruction, en plus Rastelli est nommé procureur, mais en février 1901,
après un mois de maladie, il meurt. La nouvelle arrive à Parma le 3 mai successif, Conforti ordonne
à Manini, au même temps ordonné prêtre, de rentrer en Italie : où il arriva le 21 décembre 1901, il
débarqué à Napoli et, en faisant une pause à Roma, il arrive à Parma le 13 janvier 1902.
Si on pense que toutes ces vicissitudes, et en particulier les longs mois sans des nouvelles
certaines même pas à travers le Ministère des affaires étrangères, entre l’été et décembre 1900,
arrivent pendant qu’on bâtit les murs du bâtiment au Campo di Marte, on est étonné de la capacité
de l’endurance de Conforti. Le stress de ces longues attentes, des nouvelles incertaines et carrément
négatives, devait être très haut. En plus, il continuait le ministère de vicaire général et la
responsabilité d’une œuvre qui demandait attention, investissements financières, responsabilité. En
plus, quand après dans le printemps avancé du 1901, Conforti s’est rendu compte que son meilleur
sujet, le père Caio, était mort en Chine, et la bas restait un jeune séminariste qui avait manifesté les
limites très graves, comme témoignent les dernières douloureuses relations du même p. Caio.
Conforti restera toujours lié avec affection à la mémoire de Rastelli. Mais on peut faire une
hypothèse que entre mai et décembre 1901, il s’est au moins posé le problème, si cette première
mission n’a pas été trop inconsidérée. Nous n’avons pas ces textes qui nous permettent d’éclairer
mieux son état d’âme, mais une fois de plus probablement fut nécessaire une nouvelle lecture des
vicissitudes de ces mois. Conforti peut-être fut aidé en considérant l'abbé Caio Rastelli comme un
martyr, même si ne s’agissait pas proprement du martyr. Son enthousiasme qui avait traîné
Confortai même à adhérer à la proposition de Fogolla, son engagement missionnaire brève mais
diligent, le martyr de la chrétienté du Shanxi septentrional ont justifié, aux yeux de fondateur, un
parcours que de toute façon, au moins sur le versant de Manini, montrait les signes évidents d’un
échec.
L’EVOLUTION DU « SEMINAIRE MISSIONNAIRE EMILIEN »
Toujours en ces peu de mois au commencement du siècle murait un ultérieur changement
vis-à-vis de la première expérience du séminaire émilien. Dans les « notes historiques » écrites 20
ans après, Conforti raconte :
Après avoir constaté en effet que très peu étaient les élèves qui sont entrés à l’institut
encore adolescents décidaient après d’embrasser la vie missionnaire, on a commencé à
réfléchir si n’était pas avantageux limiter pour le futur l’acceptation (sic) des jeunes qui
venaient de terminer au moins le gymnase pour ne pas censurer presque tout le but de la
fondation. On a décidé au même temps de retenir jusqu’au lycée terminé ceux qui avaient
voulu continuer à rester dans l’institut.
Cette nouvelle, selon Conforti se réfère à l’année scolaire 1989-99. Après quelques années
d’engagement éducatif, l’ancien vice recteur s’est rendu compte que le séminaire émilien était
considéré comme un petit séminaire au pris plus convenable vis-à-vis de celui du diocèse, sans
réussir à donner aux adolescents qui fréquentaient, une vraie passion missionnaire.
En écrivant aux deux xavériens en Chine, le 23 décembre 1900, tandis qu’il exprime toute sa
joie pour avoir eu finalement de bonnes nouvelles de leur vie. Conforti les informe sur le choix
accompli au sujet des élèves missionnaires plus jeunes :
Manfredi - 51 – G.M. Conforti