Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com

Milano et Parma n’ont pas eu une suite positive, à travers peu de lignes d’une lettre que Pellegri
écrivait à Conforti pendant les jours fébriles de contacts romains du vice recteur avec Propaganda
fide en décembre 1905.
Lui (Satolli) serait de l’avis qu’on pourrait être unis car on vient multiplier les organismes
qui ont le même but. Moi, à ce point, Monseigneur, j’ai compris les paroles en exposant
votre pensé, votre désir, vos pratiques, et le refus de tous les autres, seulement j’ai dit ceux
à de Milano qui ont répondu l’année passée, comme vous le savez, il a commencé à rire en
écoutant « cette belle fusion » J’ai ajouté qu’il serait une bonne chose si part de
Propaganda fide l’idée en assurant que lui-même peut exprimer sur l’autorisation de Mgr
Conforti en comprenant toujours union, non admission. J’ai entendu volontiers tout ceci
car est telle votre pensé, aussi peut dire une parole en votre nom.
Donc il semblerait que Conforti aurait donné la disponibilité à Milano pour une espèce de
fédération ou union entre les deux instituts, tandis que Milano se montrait contraire, ou bien il
exposait une « annexion ». De Parma Pellegri, au nom de Conforti, et dans une situation dans
laquelle l’institut de Parma n’était pas encore reconnu, il proposait à Propaganda fide de prendre
dans les mains la situation, en exposant une forme de union pour les deux instituts « frères ». J e
pense que de cette hypothèse on n’a rien fait en 1905 – 1906 à cause du successif Decretum laudis
(approbation de l’institut de la part de Rome) que en effet et de droit résoudrait la précarité
juridique du séminaire émilien. Restait au même temps suspendue, en ces pourparlers « avortés » l a
question de la différence du projet entre la réalité de Milano, que comprendraient des prêtres
diocésains et de frères, et celle de Parma, qui voulait être et elle était déjà une congrégation
religieuse avec des vœux. Des pourparlers ultérieurs se déroulaient après en 1912, mais de ce
problème on en parlera après.
En décembre 1904 meurt Simeone Volonteri, le vieux vicaire apostolique de l’Henan
méridional. Rome nomme comme successeur, en juillet 1905, le père Angelo Cattaneo, qui avait
insisté pour la division et qu’il aurait confié aux xavériens le district que lui-même dans le temps
avait soigné, c’est-à-dire la partie occidentale de la préfecture. La question était si dans cette
nouvelle circonscription il y avait ou non quelques villes sur la ligne du chemin de fer (sud-nord)
qui se rattachait à la transsibérienne à travers la Mongolia, quelques villages d’ancienne
évangélisation, et, surtout un nombre des « résidences » et un taux de biens économiques suffisants
pour maintenir la mission. Avec l’habituelle lenteur du courrier et des décisions romaines on est
arrivé à une répartition communiquée par Gotti à Conforti en décembre 1905 mais décidée en mai
1906. Le père Calza mis au courant de la décision et en particulier du décret en août successif,
écrivait à Conforti que trois sous préfectures dépendantes de la préfecture (civile) de Kefonfu, que
dans les pourparlers en Chine devaient être prises par les xavériens, elles n’étaient pas incluses dans
le décret, selon lui à cause d’une erreur ou d’une omission de Propaganda. En juin 1907 la
congrégation romaine écrivait de nouveau à Cattaneo en disant de faire référence pour
l’interprétation du décret, à la carte géographique que les missionnaires de San Calogero avaient
envoyée à Rome, où était évident que les trois sous préfectures en question devaient appartenir au
territoire confié aux xavériens. Cattaneo en recevant une ultérieure imposition de la part de
Propaganda, en octobre 1907, entre décembre 1907 et janvier 1908 écrivait à Rome en présentant
des ultérieurs mises au point. Propaganda en avril 1908, définit en manière conclusive que les trois
sous préfectures de Yu-tchoo, Mihsien et Sin tcheng appartenaient au territoire confié aux pères
xavériens. Les questions ne sont pas encore terminées, car pendant longtemps ont continué les
controverses pour l’assignation d’une maison : n’était pas claire si elle appartenait à la mission (et
donc elle devait appartenir aux xavériens comme résidence des missionnaires) ou bien achetée avec
les moyens de Mgr Volonteri, et donc laissée par lui-même par « sa » mission de san Calogero.
De ces vicissitudes et de beaucoup de nouvelles qu’on peut connaître à travers les lettres de
Calza et Bonardi ressortit avec clarté que le nœud de la question n’était pas pastoral, mais
Manfredi - 79 – G.M. Conforti