Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com

J’adresse en particulier ma parole à ceux qui avaient vécu dans un milieu religieux, n’ont
jamais eu l’occasion d’étudier la religion. A l’éveché a été inauguré pour ceux-ci un cours
spécial des conférences. La religion ne rejette pas la discussion mais elle la provoque.
Conforti demandait aux curés de la ville d’individualiser les possibles adhérents au cours, né
pour répondre aux exigences de ceux qui « commençait de nouveau » dont on avait déjà vu dans
l’huitième chapitre, et que peut-être n’étaient pas un petit nombre, mais qu’ils auraient eu un
malaise à fréquenter la « doctrine paroissiale des adultes » Nous ne savons pas combien a continué
cette initiative, que cependant montre certainement un vraie aspect original du projet catéchétique
de Conforti.
LES CLUBS DE LA JEUNESE
Un autre pilier du projet de Conforti était le choix de la diffusion des clubs de la jeunesse.
La naissance de ces groupes de rencontre était un objectif de la première visite pastorale, avec une
amélioration de la catéchèse aux enfants. Le choix fut relancé pendant le synode du 1914. Comme
on avait déjà dit, après une première grande diffusion, le mouvement de la jeunesse avait subi une
grave régression avec la guerre mondiale, puis le motif évident de la mobilisation générale qui avait
privé complètement les paroisses des jeunes hommes. Je crois que soit cette marche instable des
réalités associatives de la jeunesse qui aurait fait dire au secrétaire Ceretoli, après des années, ce que
nous avons rapporté dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire, en synthèse, que Conforti d’abord
avait essayé la proposition des clubs de la jeunesse, en suite, vu un échec substantiel « s’était
replié » sur un intense engagement pour la catéchèse des enfants. Au même temps la scansion
chronologique rappelée par le secrétaire de Conforti n’est pas exacte : c’est vrai que l’année du
lancement de la pastorale catéchétique fut en 1913 avec le congrès et la semaine, mais il est aussi
vrai que cette insistance, comme on a vu en haut, est bien précédente : ainsi comme l’engagement
pour les clubs de la jeunesse commence en 1910, mais en 1914 il assiste à un lancement sérieux
avec un nouveau statut de la fédération des clubs. Pendant les premières années de l’épiscopat les
deux choix de la reforme des parcours de la doctrine chrétienne et de la diffusion des clubs de la
jeunesse allaient en parallèle et dans une étroite corrélation en étant les clubs conçus comme des
réalités de « persévérance » de l’ « école ce catéchisme »
Mais l’affirmation pour laquelle Conforti, pour ce qu’on dirait aujourd’hui, « pastorale de la
jeunesse » avait diminué au fil des jours et pour survenir des déceptions pour le peu de stabilité des
clubs est-elle historiquement acceptée Les documents portent à une substantielle révision du
témoignage de Ceretoli. Toute de suite, après la guerre, au moins deux interventions publiques de
Conforti invitaient à la relance des groupes de la jeunesse. La lettre du carême du 15 février 1919,
dédiée à la réorganisation de l’Action catholique, fait des groupes de la jeunesse le pilier de
l’engagement diocésain :
.... je sens mon cœur se dilater, frères et fils bien-aimés, et je voudrais vous dire beaucoup
de choses dictées par l’affection très vive que je prouve pour la jeunesse, qui est la partie
la plus élevée de ce diocèse très chair. Mais après tout ce que sur cet argumente je vous
avais dit et écrit en plusieurs circonstances, je vois bien que je ne pourrais que me répéter.
Je résume tout ce que je voudrais vous dire maintenant en deux paroles semples et
compréhensibles : « Organisons la jeunesse, avant qu’elle ne soit pas recrutée par
d’autres. Cette parole d’ordre, ce cri d’abord d’alarme, je ne serais jamais fatigué de le
répéter pendant le temps de la sainte visite en cours, car je voudrai qu’il n’y ait pas dès
maintenant aucune paroisse du diocèse qu’elle n’ait pas ses associations de la jeunesse.
A l’organisation juvénile et aussi féminine, cette dernière encore dans une phase naissante en
toute l’Italie, est dédiée la pastorale du 21 janvier 1921 :
Manfredi - 220 – G.M. Conforti