Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com
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proches de Parma, mais cette fois à l’ouest ; Gaiano était hameau de Vigatto, vers les collines à<br />
sud de Parma. Toutes les <strong>com</strong>munes jusqu’à maintenant citées appartenaient pour le moment à<br />
la mairie de Parma, que jusqu’aux années ’40 du XX siècle se limitait à l’ancienne enceinte des<br />
murs.<br />
Donc ces nouveaux élèves de <strong>Conforti</strong> venaient immédiatement de la banlieue. San<br />
Secondo, Colorno et Soragna sont des centres importants de la basse pleine, <strong>com</strong>me aussi<br />
appartenaient Fontanelle et Roccabianca ; Cassio est sur le chemin de la Cisa, à plus de 800<br />
mètres d’altitude dans la <strong>com</strong>mune de Lesignano Palmia. Enfin, sur 20 nouveaux élèves, 4<br />
étaient originaires de la ville, 8 des villages de la banlieue dans un rayon de quelques<br />
kilomètres, 5 de la basse pleine, un peut-être de la colline (sant Andrea, mais il pourrait être de<br />
la baisse pleine) un de la montagne, plus un de Reggio. Est suffisant <strong>com</strong>parer ces simples<br />
données géographiques avec les provenances des prêtres diocésains ordonnés de 1895 au 1906<br />
pour se rendre <strong>com</strong>pte des différences intéressantes : les séminaristes diocésains de cette période<br />
( il s’agit des situations presque constantes) venaient surtout de la montagne (43 ordinations<br />
sacerdotales) en deuxième lieu de la basse pleine (24 ordinations) puis se classaient la moyenne<br />
pleine (les paroisse à côté de Parma, 20 ordinations), la ville 17 ordinations, toujours la dernière<br />
était la colline (11 ordinations). Le manque des élèves missionnaires de la montagne est<br />
expliqué en partie par l’existence du petit séminaire de Berceto, qui ramassait les séminaristes<br />
des zones les plus « fécondes » de vocations au moins jusqu’au Gymnase ou lycée, donc dans<br />
des classes d’âge dont une grande partie était constituée l’institut Borgo del Leon d’Oro.<br />
Reste de toute façon la surprenante présence des élèves de la ville et des zones de proximité<br />
<strong>com</strong>plètement « hors escalier » vis-à-vis non seulement aux données du séminaire de Parma de<br />
ce temps, mais, <strong>com</strong>me on disait, à lignes de tendance suffisamment consolidée. Comment cette<br />
provenance « proche » de premiers élèves missionnaires de <strong>Conforti</strong> <br />
Sans exclure naturellement un <strong>com</strong>mencement au moins une initiale identité missionnaire<br />
diffusée parmi ces adolescents, et qu’après, <strong>com</strong>me il arrive souvent, vient à s’atténuer le long<br />
du chemin, on peut tracer différentes hypothèses. Avant tout peut-être que la nouvelle de ce<br />
nouveau séminaire a été diffusée parmi le clergé de la ville et des environs, sans rejoindre les<br />
centres plus éloignés. Autant qui était connue la personnalité de <strong>Conforti</strong>, dans un diocèse<br />
<strong>com</strong>me celui de Parma et en tenir <strong>com</strong>pte du rythme de vie et du déplacement du temps, n’est<br />
pas improbable que pas tous les curés ont su de cette nouvelle initiative et donc ont pu conseiller<br />
les parents à envoyer les possibles élèves. <strong>Conforti</strong> même pourrait avoir proposé l’envoi de<br />
quelques jeunes pleins de promesses aux prêtres les plus proches et qu’on peut atteindre plus<br />
facilement. Mais peut-être le successif résultat de la plus grande partie de ces premiers élèves et<br />
de beaucoup qui pendant les premières années peuplaient les salles des classes et chambrées du<br />
séminaire missionnaire peut suggérer une autre indication.<br />
Depuis quelques années à Parma était terminé « le séminaire sainte Anne pour les<br />
séminaristes pauvres » une espèce de structure de « deuxième catégorie » pour ceux qui<br />
n’avaient pas les moyens pour payer une pension entière. Cette réalité analogue à d’autres<br />
institutions éducatives de beaucoup de villes d’Italie, a été d’abord déplacée dans « le grand<br />
séminaire » avec les travaux de restructuration organisés par l’évêque Villa, et puis était resté<br />
seulement <strong>com</strong>me distinction entre deux menses : les séminaristes des familles qui avaient des<br />
biens payaient plus et ils mangeaient mieux, les autres devaient se contenter. Mais de cette<br />
situation nous avons des traces depuis 1890. En plus, jusqu’à la fin du XIX siècle restait aussi<br />
un certain nombre des séminaristes externes (.d’ailleurs a été aussi Ferrari pendant ses premières<br />
années de formation au séminaire) ; des jeunes qui fréquentaient les cours au séminaire, mais,<br />
ayant des appuis des membres de la famille, <strong>com</strong>me des parents des familles laïques ou des<br />
prêtres, en ville épargnaient sur le taux de la vie <strong>com</strong>mune en restant dans la maison de ces<br />
familiers. Probablement une grande partie des ces élèves externes provenait de la ville même ou<br />
des villages voisins, vue la majeure probabilité d’avoir des parents en ville.<br />
<strong>Manfredi</strong> - 44 – G.M. <strong>Conforti</strong>