Manfredi Guido Maria Conforti - saveriani.com

Nous constatons avant tout l’objectivité de la considération faite par beaucoup au sujet du
malaise créé par le peu des produits agricoles qu’on a eus en ces deux dernières années
spécialement à cause de l’exceptionnelle sécheresse qui a abîmé nos fertiles campagnes. Et
la douloureuse constatation nous suggère l’opportunité d’adresser notre pensée à Dieu
pour invoquer la miséricorde, selon l’enseignement du Maître : « Demandez et vous
obtiendrez » Pour cela nous ordonnons que les jours 2, 3, 4 du prochain mois de mai qu’on
fasse dans toutes les paroisses du diocèse un triduum pour obtenir la bénédiction de Dieu
sur nos campagnes en invitant le peuple à participer et conseillant les fidèles l’idée de faire
presque un vœu d’une généreuse offrande en faveur du séminaire en construction si le
Seigneur jugera d’exaucer nos supplications.
Evidemment quelques curés de la campagne s’étaient lamentés que l’entreprise du séminaire
devait être à la charge des bilans paroissiaux dans une période pas du tout facile. On ne connaît pas
si les invocations en faveur de la prospérité agricole proposées par Conforti ont auraient été
efficaces. Cependant on doit noter, que en octobre successif, précisément le vendredi 24, un krach
de la bourse de New York fut le signal de la « grave dépression » une crise économique mondiale
qui avait procuré ses conséquence même en Italie : et que en cette période le diocèse de Parma
aurait fait un grand effort économique pour le séminaire est vraiment surprenant.
Le premier avril 1929, comme on disait, fut posée la première pierre, même aussi comme
occasion de l’élan de tout le diocèse. Ainsi Conforti décrivait l’évolution de la situation des
vocations :
Nous sommes obligés à proclamer les paroles de l’évangile que la moisson est très
abondante mais les ouvriers pou nombreux En ces dernières 20 ans, les causes ont été
multiples pour cette affaire douloureuse. La faiblesse de la foi, les mauvaises coutumes, la
longue guerre et le socialisme incroyant qui renie toute religion, avaient interdit ou
diminué dans les générations en croissance tout élan pour les vocations ecclésiastiques, et
étaient peu nombreux les jeunes qui pensaient de réaliser cet appel. Mais maintenant que
grâce à l’œuvre forte et sage de ceux qui gouvernent l’Italie, la religion est considérée un
élément indispensable pour le progrès et le bien-être moral de la nation ; et la religion est
entrée de nouveau dans les écoles publiques pour les animer de son souffle vivifiant, voilà
que nous voyons grandir chaque jour le nombre des jeunes qui attirés par ce sublime idéal
d’apostolat, demandent d’être admis parmi les élèves du séminaire pour être un jour les
ministres de Dieu.
Après la bénédiction de la première pierre ne manquait pas l’intensité des initiatives de
Conforti et du diocèse. En mai il y avait une autre assemblée des personnes qui pouvaient avoir le
rôle de sponsor ; à la présentation de la cinquième visite, comme on avait dit, le premier objectif
c’était « d’intéresser » la générosité de braves personnes en faveur de la construction du séminaire
diocésain. Une autre lettre au clergé fut publiée à la fin d’avril 1930, avec la reconnaissance pour
l’engagement de demander une contribution aux bénéfices ecclésiastiques en faveur du petit
séminaire, une décision de l’assemblée du clergé du 26 mars 1930.
Conforti, comme on connaît, n’avait pas vu l’accomplissement de la construction et il
entrevoyait seulement une bonne reprise du nombre des ordinations sacerdotales, qui ont eu le
sommet entre 1934-1948. C’était un phénomène commun en toute l’Italie, une reprise de
recrutement qui avait surmonté les difficultés des année de la première guerre mondiale et l’aprèsguerre,
et s’est soutenu avec un décroissance jusqu’à quand est née l’école moyenne unique qui
avait enlevé aux séminaires le rôle des écoles humanistes pour les enfants des familles pauvres.
Peut-être Conforti avait individualisé certains motifs de cette reprise, pendant le discours de la
bénédiction de la première pierre, comme on avait écrit. Sans aucun doute pendant les années 1930-
Manfredi - 240 – G.M. Conforti