Consulter le texte intégral de la thèse - Université de Poitiers

Chapitre II,
pp. 18-38.
(3, 4, 14),
« stanza »
(14),
« salotto »
(3, 4),
« cucina »
(4, 6),
« terrazza della
cucina » (7),
« terrazza... del
salotto » (7),
« mare »
(4, 7, 9, 12, 13,
14, 17),
« mare felice
Eldorado»
(16),
« Napoli »
(12, 16),
« città »
(14),
« città senza
Vesuvio e senza
estati » (16),
«le otto» (8),
« inizio
dell’estate »
(13),
« domenica »
(13)
« palazzo »
(18, 19),
« palagio »
(18),
« Palazzo
Medina »
(18, 20),
« terrazza »
(19),
« mare »
(19, 27),
« golfo di
Napoli »
(18),
« riviera di
Posillipo »
(18),
«Capo
Posillipo» (27),
il signor De
Luca (4)
Massimo,
ses
camarades,
Ninì,
Sasà (38)
320
de Carla (4, 6, 11), d’une
nuit de réveillon à Positano
en 1949 (6, 11) /
Petit déjeuner de M ; De
Luca (7), souvenirs de M. De
Luca (5)/
Mythe de la belle journée (7,
14, 17) /
Présentation des
personnages : le père (4, 7) et
la mère de Massimo (10),
Ninì, frère de Massimo,
Assuntina, la bonne (7),
Gaetano, ami de Massimo /
Référence au bord de mer
entre Pausillipe et Nisida :
Villa Peirce (6),
Pietra Salata (9),
Nìsida (9) / Le ferry boat
pour Ischia : « vaporetto
d’Ischia» (14)
Allusion à la guerre et au jeu
au Circolo Nautico, « c’era
l’allarme e cadevano le
bombe… » (10)
Portrait de Naples entre
nature et histoire /
La « Foresta » comme
métaphore de Naples (26) /
Bradysisme (18, 33) /
Le déclin du mythe de la
belle journée (19, 25) /
Tentative de suicide de
Massimo (32, 34) /
Souvenir des sorties en mer
avec ses camarades entre
baignades dans l’eau
verdâtre (30) et pêche sousmarine
(36) /
Les jeunes napolitains (49) /
La vie comme parodie de
l’adolescence (46) /
Présence de la mort et de la
destruction