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population générale, de l’entourage de la femme et de l’enfant, et de la communauté (voirdéfinition page 18). Des recommandations pour le renforcement des stratégies de soutien dansla communauté ont également été formulées : le développement et la promotion de réseaux desoutien à base communautaire (groupes d’entraide entre mères, conseillers non spécialisésauxquels les hôpitaux et les centres peuvent référer les mères à la sortie de l’établissement) ;et la participation active de ces réseaux communautaires à la planification et à la fourniture deservices et leur intégration dans le cadre du système de soins.Cette stratégie rappelle ainsi le droit de chaque enfant, partout dans le monde, au niveau leplus élevé possible de santé par la protection, la promotion et le soutien de pratiquesoptimales en matière d’alimentation.B.2. Les recommandations internationales de nutrition infantile et VIHLes avancées de la recherche scientifique ont permis de définir différentesinterventions de prévention de la TME postnatale du VIH, mesures adoptées immédiatementaprès l’accouchement, et ciblant à la fois la mère infectée par le VIH et leur nouveau-né. Ils’agit avant tout de pratiques de nutrition infantile spécifiques, et de la mise en œuvre deservices de se soutien et de suivi, mais aussi de l’adoption de pratiques sexuelles sans risqueset de l’amélioration de l’état de santé et nutritionnel de la mère. En complément auxrecommandations internationales en matière de nutrition infantile, présentées notamment dansle tableau 3, l’OMS/ONUSIDA/UNICEF ont ainsi publié une série de recommandationsciblant le cas précis de la nutrition infantile dans le contexte du VIH.66