Leibniz, Akademie-Ausgabe, Bd. I, 23 - Gottfried Wilhelm Leibniz ...

308 johann jacob julius chuno an leibniz, 26. April 1704 N. 218
218. JOHANN JACOB JULIUS CHUNO AN LEIBNIZ
Berlin, 26. April 1704.
Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 185 Bl. 62–63. 1 Bog. 4 o . 3 S.
Le Raschmacher maitre Otton m’a dit, qu’il vous avoit deja ecrit touchant ce que
5 vous souhaitez de savoir à l’egard de la semence de Meuriers qu’on attend d’Italie. Comme
vous aurez sans doute receu sa lettre dans le paquet de Mons r Jablonski le secretaire[,]
Vous serez sans doute satisfait sur ce que vous luy avez demandé dans votre derniere
lettre.
Nous vous attendons avec beaucoup d’impatience, car nos affaires n’avancent gueres.
10 Le batiment de l’observatoire est sursis par le sort que la Chambre des Finances a eu
depuis peu. Nous ne pouvons pas encore venir à bout d’un pavillon pour M r Kirch, et les
Contraventions contre l’Edit des Almanacs continuent plus que jamais. Il s’en est fait une
sans doute fort notable icy, où le libraire Rudiger a fait imprimer les adresses que nous
avions adjoutées à notre Almanac; Il a fait mettre quelques feuilles d’augmentation, mais
15 ce n’est rien en comparaison de ce qu’il a pris de notre Almanac. Messieurs Jablonski
ne sont pas en ville presentement, mais quand ils seront de retour nous aviserons à ce
qu’il y aura à faire. Le Maitre Otton est toujours chicanné malgré sa Commission et on
luy fait assurement le plus grand tort du Monde. Mons r Kirch travaille à vos affaires de
Bianchini. Mais je ne say pas s’il les achevera avant votre arrivée pour pouvoir vous etre
20 envoyées.
Voicy une lettre de Mons r de la Crose, le quel m’a dit autre fois d’avoir trouvé à
12 f. une sous tout fort notable K, korr. Hrsg.
Zu N. 218: Beischluss war N. 212 (Z. 21). 4 deja ecrit: mit N. 192. 6 paquet: vgl. N. 194.
7 f. derniere lettre: nicht gefunden; vgl. auch N. 194. 12 Contraventions . . . Almanacs: vgl. N. 233 und
N. 256. 17 Otton: J. H. Otto; vgl. N. 174. 18 f. affaires de Bianchini: F. Bianchini hatte Leibniz
am 23. Januar 1703 einen längeren Brief zur Kalenderberechnung geschickt (gedr. Feder, Commercium
epistolicum, 1805, S. 310–334), zu dessen Inhalt Leibniz mehrfach eine Stellungnahme von Kirch erbat
(vgl. Herbst, Gottfried Kirch, Bd 2, 2006, Nrn 796, 799, 803) und die Kirch schließlich mit seinem Brief
vom 24. Juni 1704 (ebd., Nr. 814) an Leibniz sandte.
20. 7. 2012